L'Actualité
du 18 décembre 2025

Toulon: des tirs éclatent après un refus d'obtempérer bfmtv.com
jeudi 18 décembre 2025 à 07:52

 + Ce mercredi soir à Toulon, dans le quartier du Pont-du-Las, aux alentours de 19h30, un chauffard a tenté d’échapper à la police qui a ouvert le feu. Une vingtaine de coups de feu ont été tirés au total, dont deux qui ont atteint la passagère de la voiture, qui est gravement blessée.

Trump a une « personnalité d’alcoolique », Vance est « complotiste »… Les confidences explosives de Susie Wiles, directrice de cabinet du président nouvelobs.com
jeudi 18 décembre 2025 à 07:49

 + La cheffe de cabinet de Donald Trump, proche du président, a accordé plusieurs entretiens au magazine américain « Vanity Fair ». Elle y décrit avec une franchise peu commune le premier cercle du républicain.

EN DIRECT - Mercosur, dermatose : des milliers d’agriculteurs en route vers Bruxelles pour protester contre la politique de l’UE lefigaro.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 07:46

 + Les agriculteurs ont menacé mercredi de maintenir leurs blocages pendant les fêtes face à un gouvernement qui garde le cap dans sa gestion de la dermatose bovine, catalyseur d’une colère agricole qui s’étend ce jeudi à Bruxelles contre l’accord UE-Mercosur.

Les Oscars seront diffusés uniquement sur YouTube à partir de 2029 lexpress.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 07:44

 + Après des décennies de retransmission télévisée sur ABC, la cérémonie des Oscars, les plus prestigieuses récompenses du monde du cinéma, sera alors diffusée uniquement en ligne sur YouTube, en vertu de l'accord sur cinq ans dévoilé mercredi 17 décembre. Cette décision de l'Académie des Oscars doit permettre d'atteindre "la plus grande audience possible dans le monde, ce qui sera bénéfique pour nos membres et le monde du cinéma", a déclaré dans un communiqué le directeur général de l'Académie des Oscars Bill Kramer et sa présidente Lynette Howell Taylor.Le choix du streamingL'audience de la cérémonie des Oscars, qui rassemble habituellement les plus grandes stars de Hollywood, réunit en général autour de 20 millions d'Américains et des millions d'autres dans le monde, contre quelque 40 millions il y a une dizaine d'années.ABC, détenue par le groupe Disney, va retransmettre la cérémonie jusqu'en 2028, pour la 100e édition des Oscars. En passant ensuite sa cérémonie sur YouTube, du géant Google/Alphabet, l'Académie américaine des arts et des sciences du cinéma fait le choix du secteur du streaming, un secteur qui grignote depuis des années des parts de marchés à la télévision et aux salles de cinéma.Les géants du streaming, de Netflix à Amazon, sont parvenus ces dernières années à attirer des grands noms du cinéma, à l'aide de millions de dollars et malgré les réticences d'un milieu très attaché au grand écran. YouTube, première plateforme de streamingSur le marché du petit écran, YouTube arrive comme première plateforme de streaming en durée de visionnage, devant Netflix. L'accord passé avec la plateforme historique de vidéos sur internet va permettre à l'Académie de bénéficier de "la très grande influence de YouTube", relève encore l'institution hollywoodienne. Le montant du contrat n'a pas été révélé. "Le montant qu'était prêt à payer YouTube" était trop important pour que Disney puisse suivre, écrit le site spécialisé Deadline, citant des sources anonymes. "Nous souhaitons à l'Académie des arts et des sciences du cinéma le meilleur pour la suite", a déclaré un porte-parole d'ABC.L'audience télévisée des Oscars a baissé ces dernières années, entre pandémie de Covid-19 et changement d'habitude de visionnage, notamment chez les plus jeunes. La dernière édition a été vue par 19,69 millions de personnes, avec pour la première fois une diffusion simultanée sur ABC, propriété de Disney, et sur la plateforme de streaming de Disney, Hulu.

Des milliers d'agriculteurs attendus à Bruxelles pour protester contre l'accord avec le Mercosur france24.com
jeudi 18 décembre 2025 à 07:44

 + Une manifestation contre l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et les pays du Mercosur a lieu jeudi à Bruxelles, où des milliers d'agriculteurs doivent converger à la mi-journée. Ils s'inquiètent également de la réforme de la politique agricole commune (PAC) souhaitée par la Commission européenne.

«Notre pays était mort il y a un an» : Donald Trump défend son bilan en matière d’immigration et d’économie lefigaro.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 07:42

 + Lors de son adresse à la nation, le président a aussi annoncé des chèques de 1776 dollars pour tous les militaires américains, en référence à la date de la Déclaration d’indépendance américaine.

Guerre en Ukraine: des pourparlers États-Unis-Russie prévus à Miami ce week-end bfmtv.com
jeudi 18 décembre 2025 à 07:38

 + Après des rencontres à Berlin entre responsables américains, ukrainiens et européens, des émissaires de la Russie et des États-Unis se rencontreront ce week-end des 20 et 21 décembre en Floride.

A Bruxelles, le moteur franco-allemand cale bfmtv.com
jeudi 18 décembre 2025 à 07:35

 + "La France a, sur le Mercosur, une logique de politique intérieure consistant à "aller jusqu’au bout", quitte à se mettre à dos tous ses partenaires européens." Paul Maurice, SG du Comité d'études des relations franco-allemandes à l'Ifri, sur le plateau de Good Morning Business.

ÉDITO - L'économie française résiste, avec une croissance estimée à 0,9% en 2025 selon l'Insee bfmtv.com
jeudi 18 décembre 2025 à 07:33

 + Si les consommateurs broient du noir, le rebond de l'investissement des entreprises en cette fin d'année devrait soutenir la croissance qui devrait atteindre 0,9% sur l'année, contre 0,8% prévu initialement, selon l'Insee. L'institut dévoile également ses premières prévisions pour 2026 et table déjà sur un acquis de croissance de 1% à mi-année.

BFM éco : Économie française, tout n'est pas foutu ! - 18/12 bfmtv.com
jeudi 18 décembre 2025 à 07:32

 + Chaque matin à 7h10, retrouvez BFM éco présenté par Emmanuel Lechypre.

Les Vingt-Sept tentent laborieusement de s’accorder sur un «prêt de réparations» à l’Ukraine mediapart.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 07:31

 + Alors que les pourparlers de paix avancent très lentement, les dirigeants de l’UE ont l’occasion de renforcer la position de Kyiv en l’assurant d’un soutien financier jusqu’en 2027. Mais le sommet européen qui s’ouvre jeudi pourrait tourner court. En cause: le blocage de la Belgique.

Entretiens annuels : et si les managers étaient évalués par leurs équipes ? nouvelobs.com
jeudi 18 décembre 2025 à 07:30

 + Mal jugé par les salariés qui sont 41 % à le trouver inutile, l’entretien annuel d’évaluation traduit aussi souvent une vision descendante (et dépassée) du management.

Faut-il privatiser l’audiovisuel public ? Le regard éclairé du spécialiste néerlandais Jo Bardoel lexpress.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 07:30

 + Le récent vote du budget de la Sécu n’en donne pas vraiment l’impression, mais la France est toujours à la recherche de nouvelles économies. Et parmi les secteurs dans le viseur, l’audiovisuel public qui engloutit chaque année près de 4 milliards d’euros. L’an prochain, son budget devrait d’ailleurs fondre de quelque 70 millions d’euros. Mais pour certains, à l’instar de l’eurodéputée Reconquête Sarah Knafo, l’Etat pourrait aller bien plus loin dans sa chasse aux économies, en privatisant purement et simplement le service public, qu’elle estime en outre, biaisé idéologiquement (à gauche, s'il fallait le préciser).Une position partagée par le RN, mais qui s’est aussi entendue chez nos voisins européens. Au début des années 2020, le Royaume-Uni a même failli franchir le Rubicon, en privatisant Channel 4, avant de rétropédaler. "En Europe, les appels à la privatisation restent marginaux, même au sein de la droite et de l’extrême droite. Si l’audiovisuel public fait l’objet de critiques récurrentes, peu de responsables politiques assument l’idée d’une privatisation du secteur", note Jo Bardoel, spécialiste de la radiodiffusion publique à l’université de Radboud, à Nimègue. Auteur de nombreuses publications sur l'audiovisuel public en Europe, le Néerlandais nous explique pourquoi, et montre qu'entre maintien du statu quo et privatisation, une troisième voie existe.L’Express : En Europe, et en particulier en France, l’audiovisuel public est souvent critiqué pour son coût élevé et pour un supposé biais idéologique à gauche ou progressiste. Dans quelle mesure ces reproches sont-ils fondés ?Jo Bardoel : D’abord, ils ne sont pas nouveaux. Ils reviennent de manière cyclique, dans presque tous les pays européens, et le plus souvent à chaque alternance politique. Dans les grands Etats comme la France, l’Allemagne ou le Royaume-Uni, les groupes audiovisuels publics sont devenus des structures très lourdes, très bureaucratiques. Cela nourrit l’idée qu’ils sont coûteux et inefficaces. La BBC en est un bon exemple : sa taille et son poids institutionnel la placent en permanence au cœur de controverses politiques, notamment de la part des conservateurs, qui cherchent régulièrement à la réformer ou à en réduire l’influence.Quid de l’accusation de biais idéologiques ?Il est vrai que les journalistes, les artistes et, plus largement, les professions créatives ont tendance à être sociologiquement plus progressistes. Mais c’est un phénomène général, que l’on retrouve dans tous les pays et dans de nombreux secteurs. De la même façon, d’autres milieux professionnels, comme la finance, sont plutôt marqués à droite. Cela ne signifie pas pour autant que les rédactions fonctionnent comme des machines idéologiques. Aux Pays-Bas, des cabinets de conseil ont été chargés d’évaluer le service public. Leurs conclusions portaient rarement sur un supposé biais idéologique, mais plutôt sur des problèmes d’organisation, de coûts ou de gouvernance.En outre, il existe une confusion fréquente entre biais politique et logique médiatique. Les médias, y compris publics, accordent davantage d’attention aux positions radicales ou conflictuelles, parce qu’elles sont plus spectaculaires et plus "vendeuses" sur le plan de l’information. Aux Pays-Bas, certains ont ainsi accusé la télévision publique d’avoir favorisé l’ascension du leader d’extrême droite Geert Wilders. Mais ce n’est pas le résultat d’une complaisance idéologique : c’est la conséquence des règles du jeu journalistique, qui privilégient les discours tranchés et les figures polarisantes au détriment des acteurs plus modérés, souvent moins médiatiquement attractifs.Cela fait écho à la logique algorithmique des réseaux sociaux qui favorise les contenus les plus clivants. Les médias, y compris publics, sont-ils condamnés à reprendre cette même logique pour rester compétitifs ?La concurrence joue un rôle important et cela a obligé les journalistes à s’interroger sur leurs propres pratiques. Dans le cas de Geert Wilders, un débat s’est ainsi ouvert dans les rédactions : fallait-il continuer à relayer systématiquement chacune de ses provocations destinées à capter l’attention médiatique ? De plus en plus de journalistes ont estimé qu’en réagissant automatiquement à ses déclarations, ils contribuaient eux-mêmes à amplifier sa visibilité. Cette prise de conscience a conduit à une forme d’autocorrection : une couverture plus distanciée, plus sélective, et parfois une baisse volontaire de l’exposition médiatique. Cela montre que, même sous la pression des réseaux sociaux, les médias traditionnels conservent une capacité de réflexion et d’ajustement sur leur propre rôle.D’où vient l’idée que la propriété publique garantirait forcément la neutralité ? C’est un argument qui ressort souvent parmi les défenseurs de l’audiovisuel public…La propriété publique, en soi, ne garantit évidemment pas tout. Elle n’est pas une assurance automatique contre les dérives ou l’uniformité des points de vue. Les journaux privés ont longtemps joué, et jouent encore, un rôle essentiel dans la diversité des expressions au sein du débat public. En outre, il faut bien distinguer plusieurs modèles. Le service public de l’audiovisuel n’est pas la même chose qu’un audiovisuel d’Etat. Un véritable audiovisuel public doit être indépendant du pouvoir politique, fonctionner à distance du gouvernement. Il ne doit pas non plus être soumis aux seules logiques commerciales. Sa responsabilité première doit être dirigée vers l’intérêt général.Dans mes travaux comparatifs, j’ai souvent observé que ce modèle fonctionne le mieux en Europe du Nord-Ouest, où l’indépendance institutionnelle de l’audiovisuel public est généralement plus solide. En revanche, dans certaines régions d’Europe du Sud et de l’Est, la frontière entre audiovisuel public et audiovisuel d’Etat est parfois plus floue. Lorsque l’audiovisuel public est trop étroitement lié au pouvoir politique, il devient plus problématique encore qu’un système purement commercial.En France, certains responsables politiques, parmi lesquels l’eurodéputée Sarah Knafo, estiment que l’Etat devrait se borner à financer les fonctions dites "essentielles" de l’Etat — l’armée, l’école, la santé — mais pas l’information.Cette vision rompt avec la tradition dominante des sociétés européennes, qui considèrent au contraire que certains domaines relèvent de biens fondamentaux ne pouvant être abandonnés aux seules logiques du marché. L’éducation, la santé, la culture — et historiquement l’audiovisuel public — sont perçus comme des piliers de l’intérêt général, justifiant une intervention publique. A l’heure où le débat public se structure de plus en plus hors de la télévision traditionnelle, cet engagement ne peut toutefois rester figé. Le modèle du service public doit s’étendre aux nouveaux espaces numériques. Faute de quoi, l’information et la formation de l’opinion continueront d’être largement façonnées par des plateformes dominées par des acteurs américains, sans véritable ancrage démocratique européen.Pourquoi aucun projet de privatisation complète de l’audiovisuel public n’a réellement abouti en Europe ?Même lorsque la privatisation a été présentée comme une solution évidente — notamment dans les années 1980 et 1990 — l’expérience a montré ses limites. Dans plusieurs pays, les responsables politiques ont constaté qu’en laissant entièrement l’information, l’actualité politique ou la culture aux acteurs commerciaux, la quantité et surtout la qualité des contenus d’intérêt général diminuaient. A long terme, cela s’est révélé politiquement et démocratiquement insatisfaisant.C’est pourquoi, plutôt qu’une privatisation totale, les pays européens ont privilégié des formules intermédiaires : maintien d’un audiovisuel public fort, parfois complété par des chaînes commerciales soumises à des obligations de service public. La privatisation intégrale est ainsi apparue comme une réponse simple à un problème complexe — et, à l’épreuve des faits, comme une mauvaise solution durable.A quoi pourrait ressembler une troisième voie, entre privatisation et statu quo actuel ? Peut-on envisager, par exemple, un audiovisuel public qui serait en partie autofinancé par la publicité, comme Channel 4 au Royaume-Uni ?Je pense que le financement mixte — et donc pas exclusivement assuré par l’Etat ou le gouvernement — constitue souvent la solution la plus équilibrée. Il permet d’éviter une dépendance excessive à l’égard d’un seul acteur. Plusieurs leviers peuvent être mobilisés dans ce cadre : le financement publicitaire, mais aussi des formes d’abonnement ou de contribution des usagers.De nombreux diffuseurs publics - dans les pays d’Europe du Nord notamment - ont cherché, ces dernières années, à gagner en agilité et à réduire leurs coûts, en limitant leur production interne — particulièrement onéreuse — au profit de producteurs indépendants. Ce modèle peut fonctionner efficacement, notamment dans le champ culturel, où la diversité des formats et des acteurs est souvent un atout. Au Royaume-Uni, la chaîne publique Channel 4, autofinancée par la publicité, a longtemps fonctionné comme un diffuseur sans production interne : une structure éditoriale réduite, chargée de commander des programmes à des producteurs indépendants. Ce modèle peut être très efficace.Cependant, dans certains cas, cette logique d’externalisation est allée très loin. Le divertissement, par exemple, a parfois été presque entièrement confié à des acteurs extérieurs. Cette évolution a favorisé l’émergence de grands groupes de production indépendants — notamment en Allemagne — devenus extrêmement puissants et très commerciaux, comme Endemol, à l’origine de formats mondiaux tels que Big Brother ou The Voice. Cette trajectoire met en évidence une limite structurelle : externaliser, c’est aussi créer de nouvelles formes de dépendance, vis-à-vis de partenaires dont les priorités, les standards éditoriaux ou les logiques économiques peuvent diverger de celles d’un service public. C’est précisément l’un des problèmes auxquels la BBC est aujourd’hui confrontée : Donald Trump réclame 10 milliards de dollars à propos d’un programme qui avait été produit par un partenaire extérieur.A quoi ressemble votre modèle de service public idéal ? Existe-t-il déjà quelque part en Europe ?Les modèles d’audiovisuel public les plus solides se trouvent aujourd’hui en Europe du Nord-Ouest, notamment aux Pays-Bas et dans les pays scandinaves et nordiques. Ces systèmes sont régulièrement critiqués — parfois à juste titre — et ils doivent continuer à évoluer. Mais ils ne fonctionnent pas mal pour autant. Si l’on regarde strictement les structures institutionnelles, les modèles scandinaves ne sont pas fondamentalement différents de celui de la BBC ou de la France : il s’agit, là aussi, de grands diffuseurs nationaux. Les différences tiennent moins à l’architecture formelle qu’au contexte dans lequel ces institutions évoluent.Ce sont des pays relativement petits — souvent bien plus petits que les Pays-Bas —, ce qui les oblige à être en permanence plus efficaces, plus réactifs et plus attentifs aux attentes de la société. Ils ne peuvent pas se permettre des lourdeurs excessives. Cette contrainte favorise l’innovation, l’expérimentation et une plus grande ouverture aux évolutions sociales et technologiques. C’est sans doute cette capacité à se remettre en question, à tester de nouveaux formats et à rester en prise avec la société civile, qui explique pourquoi certains modèles — notamment nordiques — apparaissent aujourd’hui plus robustes et plus crédibles face aux critiques.

Netflix se rapproche de Warner Bros : 10 questions sur le projet de rachat qui fait trembler Hollywood nouvelobs.com
jeudi 18 décembre 2025 à 07:25

 + La lutte entre Netflix et Paramount pour l’achat du groupe Warner Bros Discovery connaît un nouveau rebondissement. La dernière offre de Paramount vient d’être rejetée, faisant de la plateforme Netflix le favori pour acquérir le studio historique de la Warner.

Au Brésil, le Congrès approuve une loi pour réduire la peine de Jair Bolsonaro lexpress.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 07:22

 + Le Congrès brésilien a approuvé mercredi 17 décembre une proposition de loi pour réduire la peine de prison de l'ex-président Jair Bolsonaro, condamné en septembre à 27 ans de réclusion pour tentative de coup d'Etat. Le texte, porté par la majorité conservatrice et adopté à 48 voix contre 25 mercredi par le Sénat, pourrait réduire sa durée d'incarcération à deux ans et quatre mois pour cette condamnation qui a provoqué la colère de Donald Trump. Son approbation par la Chambre des députés la semaine dernière avait suscité de nombreuses critiques. Des manifestations contre la mesure dimanche ont rassemblé des dizaines de milliers de personnes dans plusieurs grandes villes du pays. "Ce n'est pas exactement ce qu'on souhaitait, ce n'est pas pour cela que nous nous battions, mais c'est ce qui était possible dans ce contexte", a réagi dans une vidéo le sénateur Flávio Bolsonaro, fils de l'ex-président, qui l'a désigné comme candidat à l'élection présidentielle de 2026.L'ancien dirigeant d'extrême droite (2019-2022) a commencé à purger sa peine fin novembre dans les locaux de la Police fédérale à Brasilia. Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva peut apposer son veto à la loi de réduction de peine, mais celui-ci peut à son tour être annulé par le Congrès. En l'état, Jair Bolsonaro, 70 ans, pourrait demeurer incarcéré environ huit ans avant de bénéficier d'un éventuel aménagement de sa peine, selon le Tribunal d'exécution des peines de la capitale brésilienne.Liberté conditionnelle aux partisans condamnés pour les émeutesLe nouveau texte prévoit également d'accorder la liberté conditionnelle à des dizaines de ses partisans condamnés pour les émeutes du 8 janvier 2023 à Brasilia. Ce jour-là, des milliers de bolsonaristes avaient saccagé le Parlement, le palais présidentiel et la Cour suprême, réclamant une intervention militaire pour déloger du pouvoir le président actuel de gauche Lula, une semaine après son investiture.Le sénateur centriste Renan Calheiros a qualifié le vote de "farce" et quitté la séance, accusant les alliés du gouvernement d’avoir laissé passer le texte en échange de soutien à une initiative augmentant la fiscalité sur certaines entreprises. Le sénateur du Parti des travailleurs au pouvoir Randolfe Rodrigues a nié tout accord de ce type.Au sein d'un Parlement à forte majorité conservatrice, les bolsonaristes tentent en vain depuis février de faire voter un texte permettant à Jair Bolsonaro de bénéficier d'une amnistie totale. Mais à l'approche des vacances parlementaires de fin d'année, ils ont estimé que la réduction de sa peine constituait "une première étape". La semaine dernière, la proposition de loi avait été approuvée par les députés à l'issue d'une séance houleuse. Ce vote avait permis une levée de mesures américaines, dont certains droits de douane et des sanctions à l'encontre du juge Alexandre de Moraes qui avait condamné Jair Bolsonaro, allié de Donald Trump.Lula peut censurer le texteLe procès de l'ex-président, au centre de la crise entre les Etats-Unis de Donald Trump et le Brésil de Lula, avait entrainé des droits de douane américains de 40 % sur certains produits brésiliens. Le rapporteur de la proposition de loi à la chambre haute, Espiridao Amin, allié de Jair Bolsonaro, a changé la formulation du texte pour que la réduction de peine ne concerne que les personnes condamnées "pour des crimes contre l'Etat de droit". L'entrée en vigueur d'une éventuelle réduction de peine pour Jair Bolsonaro pourra être retardée si le président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva décide de censurer le texte avant sa promulgation. "Ce texte est voué au veto", a dit aux journalistes le sénateur de gauche Randolfe Rodrigues. Mais le Parlement aura le dernier mot et pourrait voter l'annulation du veto présidentiel.En septembre, à l'issue d'un procès historique, Jair Bolsonaro a été reconnu coupable par la Cour suprême d'être le leader d'une "organisation criminelle" ayant conspiré pour son maintien au pouvoir malgré sa défaite à la présidentielle de 2022. Selon l'accusation, ce projet putschiste, qui prévoyait même l'assassinat de Lula après son élection au second tour, a échoué faute de soutien du haut commandement militaire.

«Barack Hussein Obama», «Sleepy Joe» Biden, élection de 2020 volée... Donald Trump franchit un nouveau palier dans l'insulte contre ses prédécesseurs lefigaro.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 07:19

 + Une plaque récemment installée à la Maison‑Blanche dresse un portrait très partisan des présidents américains. Donald Trump, lui, bénéficie d’une biographie très élogieuse, évoquant notamment son aménagement ostentatoire du palais présidentiel.

La mobilisation des agriculteurs contre la dermatose s’enflamme, le point sur les blocages attendus ce jeudi huffingtonpost.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 07:17

 + De Caen à Amiens, des actions sont prévues partout en France. La colère grondera aussi à Bruxelles contre le Mercosur, où une dizaine de milliers de manifestants sont attendus.

Signé BFM - L'entrisme islamiste est-il une menace pour les prochaines municipales en 2026, comme l'affirme cette commission d'enquête? bfmtv.com
jeudi 18 décembre 2025 à 07:13

 + Une commission d'enquête parlementaire a rendu un rapport ce 17 décembre sur l'entrisme islamiste. Elle affirme que l'islam radical est une menace pour les prochaines élections municipales en 2026. Cette commission souligne des liens existants entre certains représentants de mouvements politiques et des organisations ou réseaux soutenant l'action terroriste ou propageant l'idéologie islamiste. 

Avoirs russes : le sommet européen décisif bfmtv.com
jeudi 18 décembre 2025 à 07:13

 + Les dirigeants européens vont tenter de s’entendre sur l’utilisation des avoirs russes gelés pour le financement de l'Ukraine. Le projet se heurte toujours à l’opposition de la Belgique.

Coupe du Roi : Kylian Mbappé sauve encore le Real Madrid et vise le record de Cristiano Ronaldo 20minutes.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 07:09

 + OK, donc même pour un 16e de finale de la Coupe du Roi sur la pelouse du modeste club de Talavera (3e division), le Real Madrid a besoin de Kylian Mbappé pendant 90 minutes pour s’en sortir. La « Kyk’s » dépendance est décidément totale du côté de Xabi Alonso, puisqu’il a fallu mercredi un énième doublé du capitaine des Bleus (41e et 88e) pour poursuivre l’aventure, avec au final un succès poussif (2-3). On n’oubliera pas non plus la parade décisive d’Andriy Lunin, sur une ultime tête dans le temps additionnel, pour empêcher la folle égalisation de Talavera.Aligné devant aux côtés du probable futur Lyonnais Endrick et de Gonzalo Garcia, Mbappé était l’un des trois titulaires habituels (avec Arda Güler et Alvaro Carreras) à débuter ce rendez-vous a priori sans danger de Coupe d’Espagne. Et sa présence n’a pas été de trop pour éviter un affront XXL au Real, qui a encore montré sa capacité à se mettre le feu en concédant deux buts dans les dix dernières minutes de la rencontre.Le Real-Séville FC dans le viseur du « Kyk’s »Heureusement pour le club merengue, Kylian Mbappé a dans le même temps profité d’une grossière faute de main du gardien de Talavera Jaime Gonzalez pour offrir un peu de marge aux siens (1-3, 88e). Clairement pas la plus belle réalisation de cette première partie de saison ultra-prolifique pour l’ancien Parisien (28 buts en 23 matchs avec le Real !), mais elle pourrait avoir son importance pour notre glouton de stats.😮‍💨 | Kylian Mbappé encore lui ! 🚀💥Profitez de notre pass à 69€ pour toute la deuxième partie de saison ici : https://t.co/zipauAD0bj ! 📲 pic.twitter.com/gPsWcaYzg0— DAZN France (@DAZN_FR) December 17, 2025L’attaquant tricolore, qui fêtera ses 27 ans samedi, ne se trouve désormais plus qu’à un but du record historique pour un joueur du Real Madrid sur une année civile, détenu par un certain Cristiano Ronaldo. Idole d’enfance de Kylian Mbappé, « CR7 » avait claqué 59 buts sur l’année 2013, contre donc 58 jusque-là en 2025 pour le joueur formé à l’AS Monaco.Notre dossier sur Kylian MbappéDe quoi rendre encore plus alléchant le prochain match de Liga contre le Séville FC, samedi (20h15), ultime rencontre de l’année pour le Real. Le moment idéal pour ressortir la carte « vous êtes pas contents ? Triplé », non ?

Salary cap, contrat d’image, crédits aux internationaux... : Philippe Spanghero décrypte les règles financières du Top 14 lefigaro.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 07:07

 + ANALYSE - Alors que la LNR planche sur des aménagements qui seront votés début 2026, le dirigeant de l’agence Team One, groupe de conseil en stratégie de communication auprès des acteurs du sport, détaille, pour le Figaro, les bienfaits, et les effets pervers, du système actuel.

"Ce protocole fonctionne": premiers concernés par la dermatose nodulaire cet été, les syndicats agricoles des Savoies défendent la stratégie sanitaire de l'État bfmtv.com
jeudi 18 décembre 2025 à 07:04

 + Plusieurs syndicats agricoles savoyards, dont la FDSE et les JA, défendent le protocole mis en place par le gouvernement contre la dermatose nodulaire. Ils estiment que les "sacrifices consentis" par les éleveurs ont permis d'endiguer l'épidémie dans leur région, la première touchée en France.

Biathlon : L’affaire Julia Simon, plaie ouverte et boulet éternel de la vie du groupe tricolore avant les JO ? 20minutes.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 07:02

 + Grise mine. L’équipe de France féminine de biathlon débarque au Grand-Bornand avec l’espoir de puiser dans cette étape de Coupe du monde à domicile un enthousiasme perdu. Non pas que le début de saison soit catastrophique sur le plan sportif - deux Françaises dans le top 4 du général et une victoire à Hochfilzen pour Lou Jeanmonnot - mais la déprime collective chronique a fait son retour au premier plan la semaine dernière en même temps que Julia Simon.La lauréate de la Coupe du monde de biathlon 2023 a été condamnée cet automne à trois mois de prison avec sursis et 15.000 euros d’amende pour fraude à la carte bleue.« Ce retour, on l’a vécu plus ou moins de la même manière que depuis trois ans, partageait Lou Jeanmonnot au micro de la Chaine L’Equipe en Autriche. En fait, on y est habituées. Si pour vous, c’est ponctuel dans les médias, nous, ça fait trois ans et demi que c’est journalier. […] C’est pas comme ça que j’aurais voulu vivre ma carrière d’athlète en équipe de France A. J’aurais aimé aller avec des copines à l’entraînement et être contente d’y aller. Malheureusement, ce n’est pas le cas. »Lou Jeanmonnot au soutien de Justine BraisazPour Florian Silnicki, expert en communication de crise et fondateur de LaFrenchCom, ce feu qui consume la vie de groupe des biathlètes françaises aurait dû être éteint il y a bien longtemps par les instances dirigeantes. Or la FFS s’en était lavé les mains dans un communiqué datant du mois de juillet 2023, expliquant devoir attendre « les résultats de l’enquête pénale » faute de moyens techniques pour enquêter.« La Fédération a cru être prudente, elle a surtout été absente, tacle l’expert. En communication de crise, le silence n’est jamais neutre, il prend toujours parti. À force d’attendre et de temporiser, la FFS a laissé le collectif se fissurer de l’intérieur. Quand une institution ne protège pas clairement les victimes, elle envoie un message très violent : débrouillez-vous entre vous. » C’est d’ailleurs ce qu’il s’est passé dans un premier temps, avant que Julia Simon ne soit visée par deux plaintes pour fraude à la carte bancaire.Bien avant de devenir numéro 1 française, Lou Jeanmonnot avait acté à l’été 2023 sa rupture avec la décuple championne du monde, accusée d’avoir « refusé les mains tendues » de sa victime et coéquipière, Justine Braisaz-Bouchet, à une époque où Simon refusait de reconnaître les faits. Le week-end dernier à Hochfilzen, l’actuelle 3e du classement général a renouvelé son soutien inconditionnel à Braisaz-Bouchet, révélant au passage que celle-ci avait reçu des menaces de mort destinées à sa fille de 2 ans sur les réseaux. La championne olympique 2022 de la mass-start était ensuite entrée dans le détail au micro de RMC.« Ça m’a donné froid dans le dos de recevoir des messages haineux. C’était à l’issue du premier week-end à Ostersund. On venait de gagner les deux relais. Je faisais partie des relais vainqueurs, ce n’est pas un pari qui a été manqué. Le message était écrit en français, avec des mots violents envers ma fille. Je ne sais pas pourquoi. Des insultes il y en a régulièrement mais de ce genre-là, j’ai trouvé ça dur. »La FFS peu interventionniste dans l’affaire SimonUn épisode traumatisant qui, s’il n’a aucun lien avec Julia Simon, traduit une réalité : Justine Braisaz-Bouchet a pris l’habitude de recevoir des amabilités dans ses DM depuis la médiatisation de l’affaire en 2023. « Dans la tête de beaucoup de personnes, dit Braisaz, j’étais la fauteuse de troubles, qui essayait de piéger l’autre. » Jusqu’ici discrète, la FFS a ouvertement soutenu sa skieuse dans un communiqué faisant suite à la révélation des menaces.« La FFS condamne avec la plus grande fermeté toute forme de violence ou de harcèlement, et rappelle qu’aucun de ces comportements n’a sa place ni dans le sport, ni dans la société. […] Aucune atteinte à la probité, au respect mutuel ou à la sécurité psychologique du collectif ne saurait être tolérée, écrit la Fédération. La protection des athlètes, des staffs techniques et médicaux, ainsi que la préservation d’un climat de confiance au sein des équipes de France, constituent une priorité absolue. »La dernière phrase aux éléments de langage récurrents dans les communications officielles des deux dernières années, traduit une fuite en avant dont personne n’est sorti grandi jusqu’ici. Les réunions internes, l’ostracisation de Julia Simon lors de la présaison 2023, les petits mots glissés aux journalistes avant chaque interview les enjoignant à éviter d’aborder l’extra-sportif, rien de ce qui a été entrepris n’a pu exorciser le mal. Et la FFS, qui n’a eu de cesse de s’en remettre à la justice pour pouvoir se prononcer sur la sanction à appliquer à sa skieuse, a finalement saisi très timidement l’opportunité se sévir une fois le verdict rendu.La suspension de Julia Simon très « clémente » pour BjoernadalenPar ssa décision de ne suspendre Julia Simon que le temps de la première étape de Coupe du monde, à Ostersund, la commission de discipline de la FFS entretient l’équilibre collectif précaire de l’équipe de France féminine de biathlon. Il aurait probablement fallu écarter Julia Simon plus tôt, soutient Florian Silnicki. Dans certaines crises, le talent devient toxique, non pas sportivement mais collectivement. À vouloir sauver une championne, on fragilise toute une équipe. Au football, Didier Deschamps a accepté de se priver de Karim Benzema pour garder la maîtrise de son vestiaire. La FFS a fait l’inverse : elle a gardé l’athlète et perdu le collectif. Cela aurait peut-être coûté des podiums, mais cela aurait évité une crise chronique.Vu de l’étranger, l’heure est également à l’incompréhension pour Ole Einar Bjoerndalen, reconverti consultant pour TV2. « Maintenant qu’elle a été reconnue coupable de plusieurs chefs d’accusation, c’est encore plus incompréhensible. Il est très surprenant de voir que la punition soit si clémente. » Cela n’a toutefois pas empêché l’Unité d’intégrité du biathlon, organe rattaché à l’IBU, de se ranger derrière la décision de la FFS. Tout est en place pour que le biathlon féminin tricolore reparte pour un nouveau tour de manège, en pleine saison olympique.

Le milliardaire Jared Isaacman, nouveau patron de la Nasa, a été choisi pour une mission de haut vol huffingtonpost.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 07:00

 + La pression est forte sur cet homme d’affaires proche d’Elon Musk qui doit réussir à envoyer au plus vite des astronautes sur la Lune et Mars.

Signé BFM - À Toulouse, le musée des Abattoirs consacre une exposition XXL de près de 300 œuvre du créateur Jean-Charles de Castelbajac bfmtv.com
jeudi 18 décembre 2025 à 06:57

 + A partir de ce vendredi 18 décembre, une grande exposition est organisée aux Abattoirs de Toulouse, retraçant près de soixante ans de créations aux influences multiples. 

Des policiers ouvrent le feu après un refus d'obtempérer à Toulon, la passagère du véhicule gravement blessée bfmtv.com
jeudi 18 décembre 2025 à 06:55

 + Deux policiers ont tiré avec leur arme de service sur un véhicule "ayant refusé d'obtempérer" et percuté l'un des leurs ce mercredi 17 décembre. Dans une vidéo, une vingtaine de tirs ont été enregistrés contre le conducteur qui a brièvement pris la fuite avant d'être arrêté.

La maison d'édition Harlequin accusée de se séparer de ses traducteurs au profit de l'IA bfmtv.com
jeudi 18 décembre 2025 à 06:54

 + Publiant des romans sentimentaux et à l'eau de rose, les éditions Harlequin se séparent de la plupart des traducteurs pour les remplacer par de l'IA et des relecteurs. Une situation assumée par HarperCollins, qui détient la maison.

EN DIRECT Crise agricole : La colère agricole va s’étendre à Bruxelles contre l’accord UE-Mercosur… 20minutes.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 06:47

 + A VOIR

Donald Trump défend son bilan économique et s’en prend de nouveau l’immigration lemonde.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 06:45

 + En proie à des sondages traduisant un certain scepticisme à l’égard de sa politique, le président américain s’est évertué, mercredi soir dans une allocution retransmise à la télévision, à décrire une Amérique en plein essor, tout en accablant son prédécesseur, Joe Biden, responsable d’une « invasion » d’immigrés.

Poivre noir moulu U format classique 45g rappel.conso.gouv.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 06:34

 +

« Certains ne récupèrent pas du tout » : les ravages du protoxyde d’azote vus par un neurologue huffingtonpost.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 06:30

 + Plusieurs faits divers médiatisés, liés à la prise de cette forme de drogue, ont remis dans la lumière un phénomène né en 2017 mais qui a pris une nouvelle ampleur en 2025.

Trump face au doute des électeurs : un plan de relance par le « chèque » et le protectionnisme latribune.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 06:25

 + Onze mois après son retour à la Maison-Blanche, Donald Trump a profité d’une allocution de fin d’année pour réaffirmer son cap économique radical. Entre promesses de « boom » inédit et attaques virulentes contre l’immigration, le président tente de reprendre la main alors que son invincibilité supposée vacille.

Coupe du monde 2026 : Les supporteurs du Sénégal et de la Côte d’Ivoire réellement privés de Mondial par Donald Trump ? 20minutes.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 06:16

 + Les informations entourant la Coupe du monde 2026 de football ont le chic pour se télescoper en cette fin d’année 2025. On a ainsi pu se satisfaire (un peu) mercredi de voir la Fifa officialiser la création d’une nouvelle catégorie de billets pour les supporteurs des équipes qualifiées, avec quelques centaines de tickets disponibles au prix de 60 dollars pour les 104 matchs du Mondial, y compris pour la finale. Sauf que dans le même temps, on a appris que l’accès au territoire américain va être un parcours du combattant pour les fans du Sénégal et de la Côte d’Ivoire.Donald Trump a en effet signé un décret mardi pour adopter de nouvelles mesures sur l’accueil des supporteurs de certaines nations à l’occasion de ce Mondial 2026. Outre l’interdiction totale déjà connue pour les Iraniens et les Haïtiens, dont les équipes sont qualifiées pour la compétition, ces deux représentants majeurs du football africain devront faire face à des restrictions partielles.Une affiche France-Sénégal tristoune à New York ?Le président américain poursuit donc le durcissement de sa politique d’accueil des supporteurs, au point qu’il est très improbable d’imaginer voir beaucoup de fans des Lions de la Teranga pour l’affiche France - Sénégal du 16 juin 2026 au MetLife Stadium de New York. La raison de ce nouveau décret visant désormais Ivoiriens et Sénégalais ?Notre dossier sur la Coupe du monde 2026Donald Trump justifie ces restrictions par un taux de visiteurs et d’immigration illégaux trop important. Le département de la sécurité intérieure aux Etats-Unis indique que celui-ci serait de l’ordre de 4 % pour le Sénégal et de 8 % pour la Côte d’Ivoire. Qu’on se rassure, ces mesures ne concerneront ni les diplomates, ni les athlètes de ces deux nations africaines (youhou).

Mercosur : l’Italie rejoint le camp des sceptiques, au grand dam de Lula courrierinternational.com
jeudi 18 décembre 2025 à 06:12

 + La cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni a estimé mercredi qu’il était “prématuré” de signer le pacte commercial entre l’Union Européenne et les pays sud-américains du Mercosur. Un alignement sur la position française qui a fortement irrité le président brésilien Lula, prêt à se retirer de l’accord s’il n’est pas signé ce week-end.

Affaire Le Scouarnec : « Une jeunesse abîmée »… C’est quoi ce préjudice juvénile reconnu par les juges ? 20minutes.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 06:02

 + On lui a volé son enfance, son adolescence, et sans doute toute sa vie. Marlène * fait partie des très nombreuses victimes de Joël Le Scouarnec, condamné à vingt ans de prison en mai dernier. Quand elle avait 13 ans, celle qui n’était encore qu’une enfant a été violée par l’ancien chirurgien alors qu’elle était endormie. Elle ne s’en souvient pas. Mais son corps si. Car depuis ces faits, elle a plongé : dépression, hospitalisation, privation de nourriture. Ado, elle fait des cauchemars en permanence, ne parvient pas à vivre normalement et va jusqu’aux tentatives de suicide. Elle prend beaucoup de médicaments « pour tenter de survivre », puis tombe dans la drogue et atterrit en foyer.Devant la cour criminelle du Morbihan, lors du procès, Marlène avait osé parler de ses souffrances, mais aussi de son enfance torturée. « Je sais aujourd’hui que je ne suis pas folle. L’accusé ne m’a pas seulement violée, il a aussi volé ma mémoire et brisé ma jeunesse », avait-elle déclaré. Pourra-t-elle obtenir réparation pour cette enfance envolée ? C’est ce que réclament plusieurs avocates de parties civiles. Et la cour criminelle du Morbihan les a entendues.Le 12 décembre, la juridiction de Vannes a rendu ses premiers arrêts concernant les demandes d’indemnisations des victimes. Elle a notamment demandé aux médecins qui seront chargés des expertises d’analyser le fameux « préjudice juvénile ». « Cela veut dire qu’ils devront évaluer si les victimes ont été privées des agréments de leur jeunesse », résume Me Louise Aubret-Lebas.« Ce n’est pas une jeunesse normale »L’avocate de Vannes, qui défend plusieurs victimes, estime que ses clients ont vécu « quelque chose de particulier » qui va au-delà des notions de « souffrances endurées » et du « déficit fonctionnel temporaire » traditionnellement indemnisées. « Ce n’est pas une jeunesse normale. C’est une jeunesse abîmée. Les victimes, qu’elles se souviennent des faits ou non, elles ont quelque chose en elles qui a été détruit. L’enfance est une période d’insouciance, où chacun se construit. Là, tout a été bouleversé ».La reconnaissance d’un préjudice juvénile ne constituerait pas une première dans l’histoire du droit français. Cette notion avait en effet déjà été abordée en 1959 mais n’avait plus refait surface depuis une décision du tribunal judiciaire de Béthune en mars 2025, rappelle Me Caroline Derême dans un article consacré à ce préjudice singulier.En le plaidant lors d’un procès aussi emblématique que celui de Joël Le Scouarnec, Me Louise Aubret-Lebas avait espoir qu’il fasse jurisprudence et puisse servir à d’autres victimes. L’occasion aussi de rappeler que la parole des plus jeunes n’est pas toujours bien entendue par la justice. « On a plus de mal à bien indemniser les enfants », reconnaît l’avocate spécialisée en droit du dommage corporel. Pour un adulte, on pourra plus facilement évaluer une baisse de salaire, une perte d’emploi ou des dépenses de soins. Mais pour un enfant ?Notre dossier sur l'affaire Le ScouarnecAu côté de sa consœur Me Cécile Bigre, l’avocate bretonne avait également plaidé en faveur de la reconnaissance d’un préjudice de crime en série, estimant que les victimes de Joël Le Scouarnec avaient pâti du caractère « exceptionnel » de cette procédure. Six mois après le verdict et en attendant d’éventuels autres procès, les victimes continuent de souffrir. Et la reconnaissance de ces préjudices spécifiques pourrait contribuer à les apaiser. * Le prénom a été modifié

Oscars, M23, Brésil et Israël : les informations de la nuit courrierinternational.com
jeudi 18 décembre 2025 à 05:56

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EN DIRECT, guerre en Ukraine : une rencontre entre émissaires russes et américains aura lieu à Miami ce week-end lemonde.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 05:41

 + La Maison Blanche a confirmé cette réunion, mais n’a fourni aucun détail sur la composition des délégations. Selon le site « Politico », les Etats-Unis seront représentés par l’émissaire pour l’Ukraine, Steve Witkoff, et le gendre du président Donald Trump, Jared Kushner, tandis que la Russie devrait envoyer l’émissaire du Kremlin pour les questions économiques, Kirill Dmitriev.

Etats-Unis : « J’ai hérité d’un désastre, je le répare »… Trump tente de calmer la grogne des Américains 20minutes.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 05:15

 + Mercredi, entre critiques de ses adversaires et encensement de lui-même, Donald Trump n’a pas dérogé à son style lors de son allocution de fin d’année. Alors que la grogne est croissante aux Etats-Unis face au cap économique actuel, le locataire de la Maison-Blanche a ainsi immédiatement attaqué : « Bonsoir l’Amérique. Il y a onze mois j’ai hérité d’un désastre et je le répare. »Se posant en sauveur du pays, le président américain a donc choisi – comme souvent – de rejeter la faute sur son prédécesseur démocrate Joe Biden. Il s’en est aussi pris violemment aux immigrés, afin sans doute de conserver le soutien de sa base MAGA.Seule annonce concrète, dans ce discours diffusé en direct à une heure de grande écoute : l’envoi à 1,45 million de militaires américains de « dividendes du guerrier », des chèques de 1.776 dollars rappelant la date de la Déclaration d’indépendance des Etats-Unis.Une grosse erreur mathématiquePour le reste, Donald Trump a jugé que l’Amérique allait connaître « un boom économique comme le monde n’en a jamais connu » et a accusé Joe Biden de lui avoir laissé une économie « au bord de la ruine ». Le président républicain a aussi assuré que les prix – principale source d’inquiétude des ménages – baissaient « rapidement », tout en indiquant que la lutte contre l’inflation n’était « pas encore finie ».Notre dossier sur les Etats-UnisIl s’est à nouveau vanté d’avoir résolu huit guerres, un chiffre largement imaginaire selon les spécialistes, et a évoqué le montant faramineux de 18.000 milliards de dollars de nouveaux investissements aux Etats-Unis depuis son retour au pouvoir. Donald Trump a aussi répété que grâce à lui le prix des médicaments aux Etats-Unis allait baisser de jusqu’à « 600 % », ce qui est mathématiquement impossible.Trump encense le protectionnismeAlors même que sa politique protectionniste laisse les Américains sceptiques, il a redit que les droits de douane étaient son « mot préféré ». Le républicain a aussi répété sa volonté de mettre fin au système d’assurance-santé subventionné connu sous le nom d’Obamacare, ce qui selon l’opposition démocrate va faire flamber les coûts pour les ménages. Donald Trump a par ailleurs assuré que nombre des difficultés rencontrées par ses concitoyens étaient le résultat d’une « invasion » d’immigrés pendant le mandat de Joe Biden. Le président américain, qui mène une politique d’expulsions massives accompagnée de sévères restrictions à l’immigration, s’est félicité d’avoir enclenché un processus de « migration inversée » ou de « remigration ». Il a aussi accusé les immigrés d’avoir créé une crise du logement, d’avoir « volé » des emplois, d’avoir « submergé » les hôpitaux et, pour résumer, d’avoir vécu aux dépens des contribuables. Un discours haineux qui montre une nouvelle fois un Donald Trump très loin de prendre le chemin de l’apaisement.

Je suis devenue une “kidulte” pour échapper aux vicissitudes du monde courrierinternational.com
jeudi 18 décembre 2025 à 05:00

 + Les temps sont durs. Pour l’oublier, de plus en plus d’adultes se replongent dans l’univers de leur enfance. C’est le cas de l’artiste Simone Dede Ayivi. Elle raconte, dans les colonnes du journal allemand “Die Tageszeitung”, comment elle s’est mise à idéaliser une époque où tout lui semblait plus simple : les années 1990.

Dermatose nodulaire : les agriculteurs ne doivent pas tomber dans le complotisme ! courrierinternational.com
jeudi 18 décembre 2025 à 05:00

 + En France, 113 foyers de dermatose nodulaire contagieuse ont été enregistrés depuis juin, entraînant à chaque fois l’abattage de tout le cheptel. C’est une catastrophe pour les éleveurs et un nouveau coup dur pour l’agriculture. Mais les protestations prennent un inquiétant virage hostile à la science et antisystème, critique ce journaliste britannique.

Apple tacle à nouveau l'Europe, l'opposant à un Japon plus accommodant sur l'App Store latribune.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 04:30

 + Apple a transformé l'annonce de ces nouvelles mesures au Japon en une comparaison avec le modèle européen. Le géant californien oppose la souplesse de Tokyo à la rigueur de Bruxelles sur de nombreux points de désaccord tels que l'ouverture du magasin d'applications du groupe.

Crise agricole : Ultimatum de Lula, Macron et Meloni contre… L’UE sous pression sur le Mercosur 20minutes.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 04:04

 + La crise agricole va s’étendre ce jeudi de la France à Bruxelles. Un sommet européen va en effet se tenir, notamment sur le dossier particulièrement sensible de l’accord commercial entre l’Union européenne et le Mercosur. Présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen va tenter d’obtenir le feu vert des Vingt-Sept pour parapher ce traité samedi au Brésil mais la partie n’est pas du tout jouée.Mercredi, l’Italie a rejoint la France pour réclamer un report de l’accord. Une signature dans les prochains jours est « prématurée », a lâché Giorgia Meloni. La cheffe du gouvernement italien veut d’abord des garanties « suffisantes » pour le secteur agricole, et se dit « convaincue qu’au début de l’année prochaine, toutes ces conditions seront réunies ».Le gros coup de pression de LulaCette sortie est une douche froide pour la Commission européenne. Bruxelles n’a cessé de marteler ces derniers jours qu’une signature était indispensable avant la fin de l’année, pour la « crédibilité » de l’UE et afin de ne pas contrarier les partenaires latino-américains. Au Brésil, le président Lula a d’ailleurs posé mercredi un ultimatum. « Si on ne le fait pas maintenant, le Brésil ne signera plus l’accord tant que je serai président », a-t-il menacé. « Si jamais ils disent non, nous serons désormais fermes avec eux, parce que nous avons cédé sur tout ce qu’il était possible de céder diplomatiquement ».Pas certain que la menace de Lula soit entendue. La prise de position de Rome sur ce dossier est en effet potentiellement décisive. Avec la France, la Pologne et la Hongrie, l’Italie est en capacité de former une minorité de blocage au sein des Vingt-Sept, ce qui empêcherait un examen de l’accord durant la semaine. « Ça risque d’être très chaud », convient un diplomate européen anonymement, alors que l’Allemagne comme l’Espagne insistent pour approuver ce traité de libre-échange le plus vite possible. Le chancelier allemand, Friedrich Merz, a d’ailleurs promis d’exercer une pression « intensive » sur ses partenaires européens.Des manifestations attendues à BruxellesLes agriculteurs européens, eux, ne décolèrent pas et annoncent une dizaine de milliers de manifestants ce jeudi à Bruxelles contre ce traité. Pour rassurer la profession, l’UE a ajouté des mesures de sauvegarde : un suivi des produits agricoles sensibles et une promesse d’intervention en cas de déstabilisation du marché. Un compromis a été trouvé mercredi soir sur ce volet entre des eurodéputés et des représentants des États membres : les garanties pour les agriculteurs y sont supérieures à ce qu’avaient voté les Vingt-Sept en novembre, mais en deçà de la position adoptée par le Parlement européen mardi.Notre dossier AgricultureCela ne devrait toutefois pas suffire à la France. En outre, au sein de l’Union européenne, une série d’États redoutent que Paris ne se contente pas d’un report du Mercosur mais essaye de faire échouer le traité, malgré plus de 25 ans de négociations.

Au Brésil, le Congrès vote une réduction de la peine de Jair Bolsonaro lemonde.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 03:11

 + L’ancien président, condamné à vingt-sept ans de prison pour tentative de coup d’Etat, pourrait voir sa durée d’incarcération réduite à deux ans et quatre mois. L’actuel chef d’Etat, Lula, peut néanmoins décider de censurer le texte avant sa promulgation.

Tacle contre Macron, bon point au RN… François Fillon refait entendre sa voix 20minutes.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 02:19

 + François Fillon fait son retour dans le débat politique. Et dans son viseur notamment : Emmanuel Macron. Dans un entretien mis en ligne mercredi sur le site du Figaro, l’ancien Premier ministre LR assure ainsi qu’il « démissionnerait » s’il se trouvait « à la place » du locataire de l’Élysée.Condamné définitivement en juin par la cour d’appel de Paris à quatre ans de prison avec sursis pour détournement de fonds publics, pour les emplois fictifs de son épouse Penelope à l’Assemblée nationale, il en profite aussi pour s’élever contre un « barrage républicain » contre le RN, estimant que ce serait « un déni de démocratie ».Une critique contre LFI« Tous les partis qui respectent la Constitution font partie de l’arc républicain. C’est clairement le cas du Rassemblement national », observe François Fillon. « Appeler au "front républicain" serait un déni de démocratie », assure le candidat LR battu lors de la présidentielle de 2017. Il fait en outre la différence entre le RN et LFI « dont nombre de ses membres poursuivent un projet révolutionnaire assumé ».Ces déclarations interviennent après la promesse de Nicolas Sarkozy à Marine Le Pen qu’il ne s’associerait pas à un éventuel « front républicain » contre le RN, comme il l’a révélé dans son récent livre Le journal d’un prisonnier.Fillon encense son ancien programmeInterrogé sur la situation financière de la France, l’ancien locataire de Matignon en attribue la responsabilité au chef de l’Etat pour avoir « fait campagne contre les solutions nécessaires que je proposais pour rétablir les comptes publics » en 2017.Notre dossier Politique« A la place d’Emmanuel Macron, je tirerais les conséquences de l’état du pays et donnerais ma démission pour ne pas faire perdre dix-huit mois au pays », ajoute François Fillon, soutien de Bruno Retailleau, l’actuel président de LR. Si le président de la République « décide d’aller au bout de son mandat, alors il devrait dissoudre l’Assemblée nationale et rendre la parole aux Français », estime-t-il.

Un joueur de football international assassiné par balles en Equateur 20minutes.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 01:30

 + La violence vient une nouvelle fois de frapper tragiquement l'Equateur. Et cette fois c’est le club de football Barcelona SC qui pleure l’un de ses joueurs. L’international équatorien Mario Pineida a été assassiné par balles mercredi dans la ville portuaire de Guayaquil.Défenseur de 33 ans, Pineida avait disputé avec l’équipe d’Equateur les éliminatoires pour les Coupes du monde de Russie 2018 et du Qatar 2022. Il avait été champion d’Equateur en 2016 avec le Barcelona, et avait également joué au sein du club brésilien de Fluminense. Le ministère équatorien de l’Intérieur a confirmé les faits, ajoutant qu’une unité spéciale de la police « travaille sur l’affaire ».La mère du joueur également viséeSelon le site d’informations Primicias, Pineida a été abattu par deux personnes se déplaçant à moto, qui ont également tiré sur la mère du joueur et sur une autre femme, dont on ignore si elles ont été touchées.Le Barcelona SC a demandé à ses supporters, sur le réseau social X, de « dire une prière pour le repos de son âme et pour le courage de toute la famille ».Le contrôle du trafic de drogue au cœur des violencesLongtemps considéré comme un havre de paix en Amérique latine, l’Equateur est frappé ces dernières années par une spectaculaire flambée de violences, des gangs rivaux liés aux cartels mexicains et colombiens se disputant le contrôle du trafic de drogue.Notre dossier sur l'EquateurLe port de Guayaquil, un des points de sortie de la cocaïne produite dans les pays voisins, la Colombie et le Pérou, est particulièrement touchée par cette guerre entre organisations criminelles.

Les Oscars seront diffusés uniquement sur YouTube à compter de 2029 20minutes.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 00:50

 + La cérémonie des Oscars entamera un tournant historique à partir de 2029. Après des décennies de diffusion télévisée sur ABC, l’Académie américaine des arts et des sciences du cinéma a annoncé mercredi un accord exclusif avec YouTube pour la retransmission de sa prestigieuse soirée. Le contrat, conclu pour cinq ans, marque l’abandon de la télévision traditionnelle au profit du streaming, dans un contexte de transformation profonde des usages et malgré les réserves persistantes d’une partie de l’industrie du cinéma face aux plateformes numériques.Pour l’Académie, ce choix répond à un objectif de portée mondiale. « La plus grande audience possible dans le monde, ce qui sera bénéfique pour nos membres et le monde du cinéma », ont souligné dans un communiqué le directeur général Bill Kramer et la présidente Lynette Howell Taylor. L’institution hollywoodienne fait le pari de la puissance de diffusion de YouTube, aujourd’hui première plateforme de streaming en durée de visionnage, devant Netflix, afin de toucher de nouveaux publics, notamment les plus jeunes.Une audience TV qui s’effriteCe basculement intervient alors que l’audience des Oscars s’érode depuis plusieurs années. La cérémonie réunit désormais autour de 20 millions de téléspectateurs aux Etats-Unis, contre environ 40 millions il y a une dizaine d’années, auxquels s’ajoutent des millions de spectateurs à l’international. La dernière édition a attiré 19,69 millions de personnes, bénéficiant pour la première fois d’une diffusion simultanée sur ABC et sur Hulu. ABC, chaîne détenue par Disney, continuera d’assurer la retransmission jusqu’en 2028, année de la 100e édition des Oscars.Notre dossier sur les OscarsLe montant de l’accord avec YouTube n’a pas été rendu public. Selon le site spécialisé Deadline, « le montant qu’était prêt à payer YouTube » aurait été trop élevé pour que Disney s’aligne. La plateforme du groupe Google/Alphabet permettra à l’Académie de profiter de « la très grande influence de YouTube », tandis qu’ABC a réagi sobrement. « Nous souhaitons à l’Académie des arts et des sciences du cinéma le meilleur pour la suite. » Ce changement confirme l’attractivité croissante du streaming, qui capte depuis des années des parts de marché à la télévision et aux salles de cinéma.

Municipales 2026 à Paris : Socialistes, écologistes et communistes unis derrière Emmanuel Grégoire… mais sans LFI 20minutes.fr
jeudi 18 décembre 2025 à 00:02

 + Un accord d’union de la gauche a été officialisé mercredi à Paris en vue des élections municipales de 2026. Le député socialiste Emmanuel Grégoire a annoncé une candidature commune dès le premier tour avec les écologistes et les communistes parisiens, sans La France insoumise. Cette alliance marque une étape politique inédite dans la capitale, portée par les principales forces de gauche hors LFI.Selon le communiqué cité par l’AFP, Emmanuel Grégoire a salué « un moment historique », affirmant que « pour la première fois dans l’histoire de la gauche à Paris, socialistes, écologistes, communistes font le choix de l’unité dès le premier tour ». L’accord a été largement validé par les instances partisanes, avec un vote favorable à 85 % du Conseil fédéral des socialistes parisiens et un soutien déterminant des militants écologistes de la capitale.Une union de la gauche pour remporter ParisLes Ecologistes de Paris ont confirmé cette dynamique, indiquant avoir approuvé « à 73,7 % des suffrages exprimés le projet d’union au 1er tour avec le PS, le PC, Place Publique et l’Après ». Ils estiment que ce vote « crée les conditions pour que l’union de la gauche et des écologistes gagne les élections municipales à Paris en 2026, au 1er et au 2nd tour », dans un contexte de confrontation politique marqué avec la droite parisienne et Rachida Dati.Notre dossier sur les Municipales 2026Le communiqué d’EELV insiste sur la portée politique de ce choix, présenté comme « un choix de fidélité aux valeurs des Ecologistes et fidèle à l’intérêt des Parisiennes et des Parisiens », tout en soulignant « un choix de courage politique, en particulier celui de David Belliard, et de responsabilité politique ». Les écologistes affirment vouloir prendre « toute leur part » dans cette alliance, désormais structurée autour de la candidature d’Emmanuel Grégoire pour la bataille municipale de 2026.