L'Actualité
du 5 septembre 2025

Danse du soleil et idées sorties - La météo de Colas du vendredi 5 septembre 2025 bfmtv.com
vendredi 5 septembre 2025 à 09:56

 + Rendez-vous ce weekend au Festiv'Arts organisé à Octeville-sur-merRencontres avec des artistes et artisansLa météo de Colas du vendredi 5 septembre 2025

Blocages, grèves, transports au ralenti... À quelles perturbations faut-il s’attendre pour le mouvement du 10 septembre ? lefigaro.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 09:54

 + Malgré la probable chute du gouvernement deux jours plus tôt, les appels à «tout bloquer» continuent d’être relayés, que ce soit par certains syndicats, les partis de gauche et de nombreux Français en colère sur les réseaux sociaux.

Accident de funiculaire à Lisbonne : une Française est décédée lefigaro.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 09:53

 + Jean-Noël Barrot, le ministre des Affaires étrangères, annonce ce vendredi matin le décès d’une Française après le déraillement du funiculaire à Lisbonne survenu mercredi.

« Detroit » : un très grand film nécessaire nouvelobs.com
vendredi 5 septembre 2025 à 09:51

 + Dans ce film, le spectateur est contraint de regarder l’injustice, la sauvagerie, la décomposition d’une société. Ce soir à 22h30 sur Ciné+ Frisson.

« La Chambre d’à côté » : tout sur ma mort nouvelobs.com
vendredi 5 septembre 2025 à 09:50

 + Lion d’or à la Mostra de Venise, ce film bouleversant et engagé d’Almodóvar est porté par deux actrices exceptionnelles, Julianne Moore et Tilda Swinton. Ce soir à 21h10 sur Canal+.

Une passagère âgée n’a pas pu se retenir: les toilettes en panne, l'équipage d'un vol Virgin Australia invite les passagers à uriner dans des bouteilles bfmtv.com
vendredi 5 septembre 2025 à 09:48

 + Lors de ce vol de six heures entre Bali et Brisbane à bord d'un Boeing 737 MAX, les passagers se sont retrouvés dans une situation extrême.

Guerre en Ukraine : la Russie «absolument» opposée aux garanties américaines et européennes à Kiev lefigaro.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 09:47

 + LE POINT SUR LA SITUATION - Le Kremlin a également accusé les Européens d’«entraver» le règlement du conflit en Ukraine, au lendemain d’une réunion des soutiens européens de Kiev consacrée aux garanties de sécurité pour ce pays.

En portefeuille - 05/09 bfmtv.com
vendredi 5 septembre 2025 à 09:47

 + Ce vendredi 5 septembre, Frederic Genevrier, analyste financier chez AlphaValue, en charge d'AlphaBlunt!, s'est penché sur la gouvernance des équipes dirigeantes de Pernod Ricard et Kering dans l'émission Good Morning Market sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

"Travailler plus et automatiser davantage": les recommandations du Haut commissariat au plan pour faire face à l'effondrement de la natalité en France bfmtv.com
vendredi 5 septembre 2025 à 09:45

 + Le déclin de la natalité en France aura des conséquences économiques, selon une étude du Haut commissariat à la Stratégie et au plan et va bousculer le marché du travail à moyen terme.

DIRECT. Vladimir Poutine menace de cibler toute force occidentale déployée en Ukraine lexpress.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 09:43

 + Au lendemain de la coalition des volontaires, qui a vu se réunir une vingtaine de dirigeants européens à Paris pour évoquer l’issue du conflit, la Russie a réaffirmé vendredi son opposition aux garanties militaires américaines et européennes offertes à l’Ukraine pour sa sécurité. Le président américain Donald Trump, qui a échangé plus tôt avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky et plusieurs chefs d’Etats européens, a dit jeudi qu’il parlera prochainement à Vladimir Poutine.Les infos à retenir⇒ Le Kremlin accuse les Européens d’"entraver le règlement" du conflit⇒ Trump annonce qu’il parlera bientôt à Poutine⇒ Une frappe russe fait trois morts dans la région de KharkivLa Chine "s’oppose fermement" à toute pression des USA ou des EuropéensLa Chine a dit vendredi "s'opposer fermement" à toute coercition après l'appel du président américain Donald Trump aux dirigeants européens à faire pression économiquement sur Pékin au sujet de la guerre en Ukraine."La Chine n'est pas à l'origine de cette crise, pas plus qu'elle n'en est partie prenante. Nous nous opposons fermement à cette tendance qui consiste à invoquer la Chine à tout propos et nous nous opposons fermement à de prétendues pressions économiques exercées à son encontre", a indiqué devant la presse Guo Jiakun, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.N’importe quelle force occidentale sera une "cible légitime" pour l’armée russeN’importe quelle force occidentale en Ukraine sera une "cible légitime" pour l’armée russe, a prévenu vendredi le président russe Vladimir Poutine, au lendemain d’une réunion des alliés européens de Kiev consacrée aux garanties de sécurité. "Si des forces, quelles qu'elles soient, y mettent les pieds, surtout maintenant au moment où des combats sont en cours, nous partirons du principe qu'elles seront des cibles légitimes" pour l’armée russe, a déclaré M. Poutine, lors d’un Forum économique de l’Est à Vladivostok (Extrême-Orient)."Et si des décisions sont obtenues pour aboutir à la paix, à une paix durable, je ne vois tout simplement pas de sens à leur présence" sur le territoire ukrainien, a ajouté M. Poutine, en appelant à ce que "personne ne doute que la Russie respecte pleinement" les futures garanties de sécurité pour l’Ukraine.Arrêt de l’aide militaire américaine à des pays d’Europe de l’EstWashington prévoit de mettre fin à son aide militaire de longue date aux pays européens géographiquement proches de la Russie, alors que Donald Trump pousse le continent à jouer un rôle plus important dans sa propre défense, a rapporté la presse jeudi.Des responsables américains ont informé la semaine dernière des diplomates européens de la décision de mettre fin au financement par les Etats-Unis de programmes de formation et d’équipement des armées de pays d’Europe de l’Est, a rapporté le Financial Times. Selon le Washington Post, cette aide s’élèverait à plusieurs centaines de millions de dollars.Un responsable travaillant pour la Maison Blanche n’a pas confirmé les détails de cette décision. Il a néanmoins déclaré que la mesure avait été "coordonnée avec les pays européens", conformément à un décret signé en janvier par Donald Trump sur la réévaluation de l’aide étrangère américaine.Les garanties américaines et européennes de nouveau rejetées par MoscouLa Russie a réaffirmé, vendredi, son opposition aux garanties militaires américaines et européennes offertes à l’Ukraine pour sa sécurité."Les étrangers, en particulier les contingents militaires européens et américains, peuvent-ils fournir et garantir la sécurité de l’Ukraine ? Absolument pas, ils ne le peuvent pas", a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à l’agence d’Etat Ria Novosti."Les Européens entravent le règlement en Ukraine. Ils n’y contribuent pas", a-t-il appuyé dans un entretien au quotidien russe Izvestia, en accusant l’Europe de "poursuivre ses tentatives" de faire de l’Ukraine "le centre de tout ce qui est antirusse".Trump dit qu’il parlera prochainement à PoutineDonald Trump a déclaré, jeudi, qu’il s’entretiendrait bientôt avec le président russe Vladimir Poutine, après avoir parlé plus tôt dans la journée avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants européens. "Oui, je lui parlerai", a dit le président américain à une journaliste qui lui demandait s’il dialoguerait prochainement avec le dirigeant russe, en marge d’un dîner avec les plus grands patrons de la tech aux Etats-Unis."Cela peut être organisé rapidement en cas de nécessité", a confirmé, vendredi, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à l’agence Ria Novosti. Vladimir Poutine et Donald Trump s’étaient rencontrés en Alaska, le 15 août, lors d’un sommet qui a mis fin à l’isolement du président russe depuis l’invasion de l’Ukraine mais n’a pas débouché sur un cessez-le-feu.Une frappe russe fait trois morts dans la région de KharkivUne frappe de drones russes a fait trois morts dans la région de Kharkiv, dans l’est de l’Ukraine, a indiqué le gouverneur régional Oleg Synegoubov jeudi soir. "Deux hommes âgés de 40 ans sont morts" dans cette attaque et "une civile de 25 ans a également été tuée", a-t-il détaillé.Plus tôt jeudi, deux démineurs ukrainiens du Conseil danois pour les réfugiés ont été tués au cours d’une attaque russe dans le nord de l’Ukraine, dans une zone qui avait été occupée par les forces de Moscou au début de l’invasion, ont rapporté les autorités ukrainiennes et l’ONG.Le ministère russe de la Défense a de son côté fait état de "la destruction d’un point de préparation et de lancement de drones à longue portée des forces armées ukrainiennes dans la région de Tcherniguiv", démentant que les victimes étaient des humanitaires.

Pour François Bayrou, la présidentielle 2027 "n’est pas un objectif aujourd’hui" lexpress.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 09:41

 + François Bayrou a affirmé vendredi que la prochaine élection présidentielle n’était "pas dans son objectif aujourd’hui" et qu’il ne sollicitait pas un vote de confiance, qui risque très probablement de le faire tomber lundi, pour "préparer un autre acte". "Je serai là en 2027 mais ça ne veut pas dire candidat à l’élection présidentielle. Ça n’est pas dans mon objectif aujourd’hui", a déclaré le Premier ministre sur RTL. "C’est toujours possible", a-t-il cependant ajouté. Mais "ça n'est pas mon plan". "Je ne fais pas ça pour obtenir quelque chose qui serait une manière de préparer un autre acte", a-t-il développé.M. Bayrou a expliqué engager la responsabilité de son gouvernement lundi devant l’Assemblée nationale car "on continuera à s’enfoncer s’il n’y a pas la prise de conscience nécessaire" sur l’état d’endettement de la France. "Ce que j’ai fait, en prenant ce risque, en effet inédit, c’est de montrer que c’est tellement important que je n’hésite pas à mettre en jeu les responsabilités qui sont les miennes", a-t-il ajouté.Expédier les affaires courantesQui pour lui succéder à Matignon en cas de chute ? "Si j’avais une réponse à la question, je me garderais bien de vous le dire", a-t-il répondu, ajoutant : "je pense que c’est extrêmement difficile". M. Bayrou a laissé entendre qu’il pourrait rester quelque temps à Matignon pour expédier les affaires courantes. "Il n’y a jamais d’interruption du gouvernement en France. Et donc oui, je remplirai ma mission avec tout ce que j’ai de conscience et de volonté de préserver les choses, et je serai là pour aider mon pays", a-t-il dit.Interrogé sur l’hypothèse d’une démission d’Emmanuel Macron, réclamée par le Rassemblement national, LFI et même par certains responsables de la droite -Jean-François Copé, Valérie Pécresse, David Lisnard-, François Bayrou a répondu : "quand quelqu’un est élu, son devoir, sa mission et son honneur est d’aller au bout de son mandat."

BMW face à une féroce concurrence chinois bfmtv.com
vendredi 5 septembre 2025 à 09:36

 + « Nous avons une activité qui marche très bien au niveau mondial, puisque, globalement, nous restons stables sur un marché qui régresse. »🎙️Vincent Salimon, président du directoire BMW Group France

L'éclaireur - 05/09 bfmtv.com
vendredi 5 septembre 2025 à 09:35

 + Ce vendredi 5 septembre, les chiffres de l'emploi aux États-Unis, la tendance sur les marchés, et la flambée des taux longs partout dans le monde, ont été abordés par Mikael Petitjean, chef économiste de Waterloo AM et professeur à l'université de Louvain, dans l'émission Good Morning Market sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez-lala en podcast.

Séisme en Afghanistan : au moins dix personnes blessées après cinq répliques lefigaro.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 09:31

 + Selon le dernier bilan des autorités talibanes, plus de 2200 personnes ont été tuées, près de 4000 blessées et environ 7000 maisons se sont effondrées.

La Nouvelle-Zélande déroule le tapis rouge pour les bénéficiaires de visas dorés courrierinternational.com
vendredi 5 septembre 2025 à 09:28

 + Depuis des années, la Nouvelle-Zélande fait figure de refuge pour les ultrariches qui cherchent à échapper aux tensions géopolitiques mondiales. Dès la fin de l’année, ils devraient pouvoir à nouveau acquérir des biens immobiliers dans le pays, ce qui n’était plus possible depuis 2018, rappelle “Bloomberg”.

Rave party dans l'Aude: les organisateurs demandent "pardon" et reconnaissent "une grave erreur" bfmtv.com
vendredi 5 septembre 2025 à 09:24

 + Les organisateurs d'une rave party organisée dans l'Aude sur un terrain ravagé par le vaste incendie de cet été, ont publié un communiqué d'excuses jeudi 4 septembre. Ils évoquent leurs "regrets" et demandent "pardon" pour "la douleur émotionnelle" causée aux sinistrés.

Chute de la natalité: "L'immigration de travail n'est pas la solution miracle", explique Nicolas Pouvreau Monti (OID) bfmtv.com
vendredi 5 septembre 2025 à 09:20

 + La France va bientôt manquer de travailleurs. C'est le Haut-commissaire au plan qui alerte. C'est mathématique avec la chute de la natalité, les pénuries de main-d'œuvre vont devenir monnaie courante pour beaucoup de métiers dans les années à venir.

Politique, une rentrée désespérante ? - 05/09 bfmtv.com
vendredi 5 septembre 2025 à 09:09

 + Ce vendredi 5 septembre, Marc Fiorentino, associé gérant d'Euroland, a abordé son point de vue sur la rentrée qui est marquée par une ambiance délétère, à la fois de la part des investisseurs et des chefs d'entreprise, notamment en raison du contexte d'incertitude en France, dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez-la en podcast.

Dans la matinale de France-Inter, le rire s’exfiltre nouvelobs.com
vendredi 5 septembre 2025 à 09:07

 + L’humour était l’une des marques de fabrique de la matinale radio la plus écoutée de France. Mais, depuis la rentrée, il semble avoir déserté le studio.

La réponse de Vladimir Poutine aux « garanties de sécurité » pour l’Ukraine éloigne encore la paix huffingtonpost.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 09:03

 + Vladimir Poutine a affirmé que n’importe quelle force occidentale en Ukraine sera une « cible légitime » pour l’armée russe.

Le piratage d’un chatbot IA provoque une panique mondiale latribune.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 09:01

 + Une faille dans l’IA commerciale Drift, reliée à Salesforce, a permis à des pirates d’exfiltrer des données sensibles. D’après de premières investigations, le groupe de hackers à l’origine de l’attaque serait potentiellement affilié à la Chine.

«On ne produit pas assez» pour «avoir des salaires convenables et des rentrées pour l’Etat à la hauteur», estime Bayrou capital.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 08:59

 + A l’occasion de l’une de ses dernières sorties avant le vote de confiance devant l’Assemblée nationale lundi prochain, François Bayrou a réaffirmé son opposition à la taxe Zucman qu’il juge «inconstitutionnelle» et considère que le principal problème réside dans le manque de production du pays.

Paris investit dans un laser contre les drones bfmtv.com
vendredi 5 septembre 2025 à 08:59

 + Le ministère des Armées vient de commander un démonstrateur d’arme laser. Objectif : mettre au point, d’ici 2030, un système capable de neutraliser ces menaces à moindre coût.

Armani : qui pour succéder au maestro ? bfmtv.com
vendredi 5 septembre 2025 à 08:56

 + Giorgio Armani qui s'est éteint hier était un homme d'affaires à la tête d'un empire de plus de 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Sans enfant et sans successeur, le siège est pour l'instant vide.

Féminicide d’Amanda Glain : l’ex-policier Arnaud Bonnefoy condamné à 22 ans de réclusion criminelle huffingtonpost.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 08:54

 + En janvier 2022, l’ancien gardien de la paix avait étranglé à mort sa compagne Amanda Glain qui voulait le quitter, décrivant lui-même un acte « monstrueux ».

En Argentine, les héritiers d’un tableau volé par les nazis inculpés de «recel» lefigaro.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 08:50

 + La fille et le gendre d’un officier SS ont remis à la justice une toile du XVIIIe siècle, spoliée pendant la guerre. Au cours des perquisitions, la police a également découvert d’autres œuvres, dont l’origine reste à déterminer.

Un homme de 36 ans meurt après être tombé dans un pressoir pendant les vendanges dans le Cher bfmtv.com
vendredi 5 septembre 2025 à 08:48

 + Un salarié viticole est mort à Crézancy-en-Sancerre, dans le Cher, après avoir été victime d'un accident de travail pendant les vendanges. Le trentenaire a chuté dans un pressoir vinicole.

Les députés écologistes appellent à un gouvernement de « toute la gauche » qui se soumettrait à un vote de confiance nouvelobs.com
vendredi 5 septembre 2025 à 08:48

 + Les Verts jugent qu’Emmanuel Macron doit nommer un Premier ministre issu du Nouveau Front populaire. Son gouvernement renoncerait alors au 49.3.

Après le renvoi de la cheffe des statistiques, les chiffres du chômage aux États-Unis seront scrutés avec attention bfmtv.com
vendredi 5 septembre 2025 à 08:45

 + Les chiffres mensuels du chômage aux États-Unis doivent être publiés ce vendredi, alors que l'agence des statistiques qui les produit a été chamboulée au mois d'août, Donald Trump ayant renvoyé la responsable et nommé un économiste conservateur notoire pour la remplacer.

"De l’esclavage" : la Floride veut supprimer l’obligation vaccinale, y compris pour les enfants lexpress.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 08:33

 + Cela pourrait être "une catastrophe sanitaire", préviennent des élus démocrates. Mercredi 3 septembre, le directeur de la santé publique de Floride, Joseph Ladapo, a annoncé que l’Etat américain "va s’efforcer de mettre fin à toutes les obligations vaccinales, toutes sans exception, jusqu’à la dernière", les comparant à de "l’esclavage", lors d’un discours à l’école chrétienne Grace Christian School, à Valrico."Qui suis-je, moi qui me tiens ici devant vous, pour vous dire ce que vous devez mettre dans votre corps ? Qui suis-je pour vous dire ce que votre enfant doit mettre dans son corps ? Je n’ai pas ce droit. Votre corps est un don de Dieu", a-t-il renchéri, alors que le ministère de la Santé de Floride impose actuellement des exigences strictes en matière de vaccination, obligeant les enfants à avoir reçu une série de vaccins contre plusieurs maladies pour être inscrits dans une école publique.Un antivax de longue dateJoseph Ladapo, choisi par le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, est un antivax de longue date, et a déjà été accusé de colporter des "absurdités scientifiques" par les défenseurs de la santé publique. Ce dernier avait par exemple falsifié les données d’une étude de 2022 sur les vaccins contre la Covid afin d’exagérer le risque pour les jeunes hommes qui en ont bénéficié, et estimé que le scepticisme croissant à l’égard des vaccins était "le reflet de la lumière de Dieu contre les ténèbres de la tyrannie et de l’oppression". En 2023, il avait également exhorté les habitants de Floride à refuser les rappels d’ARNm, affirmant à tort qu’ils n’avaient pas été testés sur des humains.Joseph Ladapo n’a fourni aucun détail ni calendrier concernant l’abrogation proposée, mais a déclaré que son ministère collaborerait avec les législateurs et l’administration DeSantis pour la concrétiser. "Ce serait formidable pour la Floride d’être le premier Etat à le faire", a-t-il continué, alors que ce projet a été salué par Robert W. Malone, un médecin conservateur et anti-vaccin membre du nouveau comité consultatif sur les pratiques de vaccination, nommé par le non moins complotiste secrétaire américain à la Santé, Robert F. Kennedy Jr.Une alliance sanitaireSous la houlette de ce dernier, les Etats-Unis ont en effet amorcé une profonde refonte de la politique vaccinale, en restreignant l’accès aux vaccins contre le Covid-19 ou en coupant des fonds pour en développer de nouveaux. Pourtant, le pays a connu la pire épidémie de rougeole en plus de trois décennies, avec environ 1 400 cas concentrés dans une communauté mennonite ultraconservatrice du Texas. Selon un rapport des Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) publié l’année dernière, la vaccination systématique des enfants aura permis, en outre, d’éviter environ 508 millions de cas de maladie, 32 millions d’hospitalisations et 1,13 million de décès chez les enfants nés aux États-Unis entre 1994 et 2023.Face à cette situation inquiétante, la Californie et deux autres Etats de l’Ouest ont riposté, en annonçant mercredi la formation d’une "alliance sanitaire", destinée à fournir à leurs résidents des recommandations vaccinales ainsi que des informations sur l’efficacité et la sûreté des vaccins "élaborées par des scientifiques, des médecins et d’autres responsables de santé publique de confiance". Le même jour, plus d’un millier d’employés et d’anciens personnels du ministère de la santé américain ont aussi signé une lettre adressée aux parlementaires demandant la démission de Robert Kennedy Jr, accusé de "mettre en danger" la population.

Faux départ pour l’Allemagne, battue d'entrée par la Slovaquie france24.com
vendredi 5 septembre 2025 à 08:31

 + L’Allemagne est déjà dos au mur après sa défaite 2-0 contre la Slovaquie lors de son premier match de qualification pour la Coupe du Monde 2026. C’est la première fois que la Mannschaft perd un match de qualification à l’extérieur. De son côté, l’Espagne n’a pas eu de mal à s’imposer en Bulgarie (3-0), tandis que la Belgique a écrasé le Liechtenstein (6-0).

OPINION. « Uranium : un marché dynamique et une prépondérance russe » latribune.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 08:17

 + OPINION. Rosatom contrôle près de la moitié du marché mondial, influence les réacteurs SMR et renforce la dépendance énergétique de plusieurs pays, alors que le prix de l’uranium a quadruplé depuis 2020. Par Charaf Louhmadi, ingénieur financier (*)

Donald Trump ramène les droits de douane sur les automobiles japonaises à 15 % lexpress.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 08:08

 + Le président américain Donald Trump a signé jeudi un décret abaissant les droits de douane sur les automobiles japonaises à 15 %, au lieu de 25 % jusqu’ici, et prévoyant que ceux appliqués à la majorité des produits japonais ne dépasseront pas ce nouveau taux. Ces surtaxes entreront en vigueur sept jours après la publication du nouveau décret au journal officiel américain, qui n’est pas encore intervenue, et confirment l’interprétation que le gouvernement japonais avait donnée de l’accord signé avec Washington en juillet.Tokyo a salué le décret vendredi, le secrétaire général du gouvernement Yoshimasa Hayashi estimant que celui-ci marquait "la mise en œuvre fidèle et concrète de l’accord" conclu entre les deux pays. Selon le décret, l’accord avec le Japon prévoit un plafond de 15 % de droits de douane pour la majorité des produits japonais exportés vers les Etats-Unis, ceux étant déjà concernés par une surtaxe au-delà de cette limite voyant leurs taux inchangés.Certains secteurs, à l’image de l’aéronautique, des matières premières non disponibles aux Etats-Unis ou des médicaments génériques sont exempts de ce taux de 15 %, précise le décret. En voyant la surtaxe imposée à ses automobiles fixée à 15 %, contre 25 % pour la majorité des véhicules entrant désormais aux Etats-Unis, le Japon obtient un traitement similaire à celui accordé à l’Union européenne.Le document, publié sur le site de la Maison-Blanche, lève les doutes sur les conditions de l’accord signé fin juillet entre Tokyo et Washington. Le gouvernement japonais assurait que ce dernier prévoyait un taux maximal de 15 %, à l’image de celui signé ensuite entre Washington et Bruxelles, alors que les Etats-Unis défendaient que ces 15 % s’ajoutaient au contraire aux droits de douane déjà existants sur les différents produits japonais. Le décret valide ainsi la version de Tokyo.Signé le 22 juillet, l’accord prévoit certaines contreparties de la part des entreprises japonaises, notamment via des investissements à hauteur de "550 milliards de dollars" dont "90 % des bénéfices générés resteront aux Etats-Unis", avait assuré le président américain.Certains points toujours en suspensMalgré la signature de l'accord, Washington a tardé à publier le décret le formalisant, suscitant l'inquiétude du gouvernement japonais. Le négociateur chargé des droits de douane s'est ainsi rendu jeudi dans la capitale américaine afin de pousser Donald Trump à signer le texte, six semaines après la fin des négociations. "Il est nécessaire que les Etats-Unis publient un décret présidentiel dès que possible pour modifier les droits de douane réciproques et réduire les surtaxes sur les automobiles et les pièces automobiles", avait déclaré Ryosei Akazawa avant son voyage. Par ailleurs, certains points restent en suspens, notamment concernant les investissements japonais annoncés par M. Trump, Tokyo estimant de son côté qu'il s'agira majoritairement de prêts et de garanties.Outre ces investissements, le Japon s'est aussi engagé à acheter "pour huit milliards de dollars de produits américains", sans préciser de calendrier, et les deux pays doivent étudier les conditions d'achat de gaz naturel liquéfié (GNL) en provenance d'Alaska. Enfin, Tokyo a promis d'acheter "des avions commerciaux de fabrication américaine, notamment 100 Boeing", selon la Maison-Blanche, ainsi que de "lever les restrictions de longue date" qui empêchaient l'accès des automobiles américaines au marché japonais.L'accord ne prévoit en revanche pas de modification des droits de douane américains appliqués à l'acier et à l'aluminium, qui sont désormais de 50 %.Le Japon cherche dans le même temps à diversifier ses marchés, Tokyo s'étant notamment engagée le 29 août à investir 68 milliards de dollars en Inde, avec qui elle a convenu d'approfondir ses relations, tant commerciales qu'en matière de sécurité.

"Rompre avec la politique macroniste" : les députés écologistes appellent à un gouvernement de "toute la gauche" lexpress.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 08:00

 + Pour "donner le pouvoir au Parlement", les députés écologistes appellent à un gouvernement de "toute la gauche", qui se soumettrait à un vote de confiance à haut risque à l’Assemblée nationale et renoncerait au 49.3, dans une lettre consultée par l’AFP. "Les deux quinquennats d’Emmanuel Macron ont abîmé le débat démocratique. Il faut sortir de la verticalité où tout est imposé depuis l'Élysée ou Matignon pour redonner la responsabilité au Parlement", écrit le groupe Écologiste et Social dans une "lettre aux Français".Jugeant que le Président doit nommer un Premier ministre issu du Nouveau Front populaire (NFP), les écologistes estiment que le gouvernement qui en découlerait devra "rompre avec la politique macroniste grâce au soutien et à la participation de toute la gauche". Une divergence d’appréciation avec le Parti socialiste, dont le Premier secrétaire Olivier Faure estime que les Insoumis ne voudront pas faire partie d’un gouvernement socialiste. Quant au leader de LFI Jean-Luc Mélenchon il dénonce "un glissement politicien vers une grande coalition de Glucksmann à Wauquiez avec le PS et la macronie".Politique de rupture"La division de la gauche c’est se mettre dans les mains du macronisme", estime auprès de l’AFP la cheffe du groupe écologiste Cyrielle Chatelain. "Si on veut pouvoir mener cette politique de rupture on a besoin de ses 192 députés", insiste la députée de l’Isère. "Par contre on a bien conscience que personne n’a la majorité, y compris nous. C’est pourquoi on se mettrait tout de suite dans la main de l’Assemblée en sollicitant un vote de confiance", ajoute la députée, à quelques jours d’un scrutin similaire lundi qui devrait provoquer la chute du gouvernement Bayrou.Par le passé, la droite, mais aussi des élus de l’ancienne majorité macroniste, a pourtant promis de faire chuter tout gouvernement qui comprendrait des élus Insoumis. "Je peux comprendre les doutes mais il faut changer de culture et redonner le pouvoir au Parlement. Et cette situation de dialogue perdurerait parce que l’on s’engage à ne pas faire passer les textes via l’arme du 49.3", a-t-elle ajouté.Sur le volet programmatique, Mme Chatelain propose de partir du programme du NFP pour chercher ensuite des majorités au centre, tout en l'actualisant sur plusieurs points comme "l'indépendance stratégique de la France face à l'alliance Trump-Poutine" ou encore "la recherche de nouvelles recettes" face à la dégradation des comptes publics.

«Comme un tremblement de terre» : deux avions de United Airlines se percutent sur le tarmac capital.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 07:58

 + En plein retour des festivités du Labor Day, les opérations ont été interrompues à l’aéroport de San Francisco lundi 1er septembre. La faute à une collision entre deux Boeing 737 de United Airlines sur le tarmac, heureusement sans faire de victimes, mais causant des dégâts importants.

Vote de confiance : Les écologistes réclament un gouvernement « de toute la gauche » et pas seulement PS 20minutes.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 07:53

 + Dans une lettre, consultée par l’AFP ce vendredi, les députés écologistes appellent à un gouvernement de « toute la gauche », pour « donner le pouvoir au Parlement ». Ils appellent déjà cet éventuel futur exécutif à se soumettrait à un vote de confiance à l’Assemblée nationale et renoncer au 49.3. « Les deux quinquennats d’Emmanuel Macron ont abîmé le débat démocratique. Il faut sortir de la verticalité où tout est imposé depuis l’Élysée ou Matignon pour redonner la responsabilité au Parlement », écrit le groupe Écologiste et Social dans cette « lettre aux Français ».Jugeant que le Président doit nommer un Premier ministre issu du Nouveau Front populaire (NFP), les écologistes estiment que le gouvernement qui en découlerait devra « rompre avec la politique macroniste grâce au soutien et à la participation de toute la gauche ». Une divergence d’appréciation avec le Parti socialiste, dont le Premier secrétaire Olivier Faure estime que les insoumis ne voudront pas faire partie d’un gouvernement socialiste. Quant au leader de LFI Jean-Luc Mélenchon il dénonce « un glissement politicien vers une grande coalition de Glucksmann à Wauquiez avec le PS et la macronie ».« On a besoin de 192 députés »« La division de la gauche c’est se mettre dans les mains du macronisme, estime auprès de l’AFP la cheffe du groupe Cyrielle Chatelain. Si on veut pouvoir mener cette politique de rupture on a besoin de ses 192 députés. » Par le passé la droite, mais aussi des élus de l’ancienne majorité macroniste, a pourtant promis de faire chuter tout gouvernement qui comprendrait des élus insoumis.Sur le volet programmatique, Cyrielle Chatelain propose de partir du programme du NFP pour chercher ensuite des majorités au centre, tout en l’actualisant sur plusieurs points comme « l’indépendance stratégique de la France face à l’alliance Trump-Poutine » ou encore « la recherche de nouvelles recettes » face à la dégradation des comptes publics.

Washington menace Caracas après le survol d'un bateau américain par des avions vénézuéliens france24.com
vendredi 5 septembre 2025 à 07:47

 + Le Pentagone a dénoncé, jeudi, le survol "hautement provocateur" d'un navire américain par deux avions vénézuéliens dans les eaux internationales. Washington, qui accuse le président Nicolas Maduro de diriger un cartel, a mis en garde contre toute escalade et déployé des navires dans les Caraïbes.

Déraillement d'un funiculaire à Lisbonne : une Franco-canadienne est morte dans l'accident france24.com
vendredi 5 septembre 2025 à 07:46

 + Une Franco-canadienne est morte dans le déraillement du funiculaire de Lisbonne, a annoncé vendredi le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Le dernier bilan avait été établi à 16 morts et cinq blessés graves selon le Premier ministre Luis Montenegro, qui a évoqué "une des plus grandes tragédies humaines" de l'histoire récente du Portugal.

Finances publiques : la faillite de la France, c’est bien la ruine des épargnants français lexpress.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 07:45

 + Tous contre Bayrou : voilà ce à quoi se résume le projet d’une grande majorité de notre classe politique. Les uns veulent le censurer parce qu’il est trop à droite, les autres parce qu’il est trop à gauche, et ceux qui pourraient être d’accord avec lui refusent néanmoins "de s’embarquer sur le Titanic de la Macronie finissante", entend-on. Peu importe l’avenir du pays, seuls comptent les petits arrangements politiques et l’intérêt des partis. On fait comme toujours avec notre endettement : en parler mais sans agir, comme s’il n’existait pas.La faillite de l’Etat, c’est la ruine des épargnantsLa palme de l’incompétence et de l’inconséquence a été remportée, une fois de plus, par Jean-Luc Mélenchon qui expliquait il y a quelques jours sur France Inter qu’un défaut de la France ne toucherait pas nos compatriotes puisque 60 % de la dette publique est détenue par des étrangers. C’est oublier que des centaines de milliards d’euros d’obligations de l’Etat français sont logées dans des contrats d’assurance-vie, placement favori de nos compatriotes, sans compter les effets systémiques d’un défaut sur les banques, les compagnies d’assurance et sur un certain nombre d’entreprises comme la SNCF dont la capacité d’endettement est liée à celle de l’Etat. La faillite de la France, c’est donc bien la ruine des épargnants français.On voit bien l’idée générale qui sous-tend le discours de Mélenchon : au fond, la dette publique, c’est le problème des étrangers - les méchants créanciers en l’occurrence. Voilà qui fait écho au discours du Rassemblement national qui explique à l’envi que si l’on supprime l’aide au développement - qui mériterait, certes, une sérieuse rationalisation - et l’argent destiné aux immigrés, nos problèmes de finances publiques disparaîtront. Mélenchon et Le Pen sont d’accord sur ce point, comme sur tant d’autres : la dette publique, ce n’est pas un problème pour les Français. Mario Vargas Llosa avait raison de dire que le nationalisme est un sous-produit de la culture humaine.L’Etat, c’est nousMême du côté du "socle commun", on serine que les Français ne sont pas responsables de la situation des finances publiques, et que c’est à l’Etat et à la Sécurité sociale de faire des efforts. Voilà qui traduit une incompréhension à penser lucidement le problème qui se pose à nous. Aujourd’hui, les trois branches de la Sécu - retraites, santé et chômage - sont en déficit. Ces déséquilibres sont en grande partie structurels et, presque par nature, liés à l’insuffisance de travail dans notre pays puisque la Sécu française a été construite par les travailleurs pour les travailleurs. C’est pour cette raison que diminuer le nombre de jours fériés est nécessaire mais force est de constater que les uns ou les autres, nous n’avons pas réussi à le faire comprendre. Quant à l’Etat, on ne peut s’empêcher de rappeler cette maxime tirée des Harmonies Economiques du grand Frédéric Bastiat : "l’Etat, c’est la grande fiction par laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde."Et oui. L’Etat n’est pas un corps extérieur à la société qu’il conviendrait de faire maigrir à coups d’incantations. L’Etat, c’est l’institution qui mutualise les moyens d’une société pour rendre des services collectifs. Le libéral qui écrit ces lignes souhaite voir son efficacité augmentée. Oui, il faut augmenter le temps de travail des fonctionnaires et réduire leur nombre ; bien sûr, il faut réduire la bureaucratie. Mais cet effort absolument nécessaire ne nous exonère pas d’une réflexion collective sur le champ d’intervention de la puissance publique en reconnaissant, comme le disait Bastiat, que l’Etat, c’est nous.Par exemple, je suis convaincu que l’instauration du pass Culture était une extension excessive des prérogatives de l’Etat. Il faudrait l’abroger. Mais le coût de cette disparition serait bel et bien supporté par les Français. A l’inverse, il est à peu près certain que la suppression de cette mesure serait absolument impopulaire. Car oui, contrairement à ce que prétendent les démagogues de tout poil, ce sont bien les Français qui sont responsables de l’impasse dans laquelle sont plongées nos finances publiques. Et ce sont bien les Français qui doivent faire l’effort d’assumer eux-mêmes, directement, sans l’intermédiaire de l’Etat, une plus grande part de leur quotidien.Nicolas Bouzou, économiste et essayiste, est directeur du cabinet de conseil Astères

Usine de semi-conducteurs en France : dans les coulisses de l’accord Foxconn-Thales latribune.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 07:36

 + RÉCIT. L'annonce du partenariat franco-taïwanais pour une usine de semi-conducteurs a été précédée par de longs mois d'efforts diplomatiques et politiques, avec l'objectif de renforcer les collaborations économiques entre les deux pays.

Le maire de Vendin-le-Vieil implore Gérald Darmanin de changer le nom de la prison de haute sécurité huffingtonpost.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 07:30

 + Le maire Ludovic Gambiez déplore que le nom de sa commune soit associé « à une image négative » depuis l’inauguration de la prison de haute sécurité de Vendin-le-Vieil.

Après l’OL, Jean-Michel Aulas vise les cages… de la mairie de Lyon capital.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 07:13

 + L’ancien président de l’Olympique lyonnais, Jean-Michel Aulas, a décidé de briguer la mairie de Lyon. Réunis avec Laurent Wauquiez et Pierre Oliver (actuel maire LR du IIe arrondissement) dans un bar de la ville, les trois hommes ont annoncé un accord.

Pourquoi la France est-elle en retard sur le dépistage des maladies rares à la naissance ? 20minutes.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 07:02

 + Mucoviscidose, drépanocytose, surdité permanente néonatale… En France, 16 maladies rares et sévères sont détectées à la naissance afin de retarder, voire d’empêcher, l’apparition des premiers symptômes. Trois d’entre elles, dont l’amyotrophie spinale infantile (SMA), ont été ajoutées lundi à cette liste. Si, dans l’Hexagone, le nombre de pathologies dépistées à la naissance augmente, il est toujours inférieur à celui d’autres pays européens. Aux Pays-Bas, plus de 25 maladies sont recensées, et plus d’une quarantaine en Italie. Mais alors, pourquoi la France est-elle à la traîne ?Depuis 1973, chaque bambin né sur le territoire français bénéficie à sa naissance, avec l’autorisation de ses parents, du test de Guthrie. Quelques gouttes de sang prélevées au niveau de son talon permettent de détecter la présence d’une potentielle maladie rare, avant même que les premiers symptômes n’apparaissent. Le procédé vise à délivrer un traitement le plus rapidement possible afin de retarder, voire d’éviter, l’apparition des symptômes pouvant conduire au décès du nourrisson.« On est encore en retard »« Pour la mucoviscidose, avant les traitements, le patient décédait entre ses 20 et 35 ans, illustre le docteur Paul Bregeaut, médecin de santé publique au Centre National de Coordination du Dépistage Néonatal (CNCDN). Mais aujourd’hui, avec ce dépistage et un traitement précoce, l’apparition des symptômes est retardée et il peut vivre jusqu’à 50 ou 60 ans, voire plus. »La France a fait du chemin, passant de six maladies détectées en 2022 à 16 en 2025. « On était excessivement en retard, mais on est encore en retard », tranche Christophe Duguet, directeur des affaires publiques à l’AFM-Téléthon. Si le docteur Bregeaut reconnaît que la France n’est plus pionnière en la matière, il prévient : « On ne détectera probablement jamais autant de maladies que les Italiens ou les Américains. »Un choix sociétalEn France, pour faire partie de la liste des maladies dépistées, ces dernières doivent respecter un cahier des charges précis. La maladie doit être grave, son fonctionnement bien connu, son dépistage fiable et son traitement efficace et précoce. Et ce dernier critère est essentiel. « En France, on détecte une maladie seulement si cela a un bénéfice direct pour l’enfant », souligne le docteur Bregeaut, estimant qu’il s’agit d’un choix sociétal français. « Si les médecins annoncent une maladie incurable à la naissance, cela va avoir un impact sur tout le parcours de soins de l’enfant ainsi que sur sa famille. »Un choix à rebours de celui fait par les Etats-Unis, dont plus de 70 maladies sont détectées dans certains Etats. « Pour eux, l’information est plus importante que ce qu’on sait de l’information », résume le médecin du CNCDN. Une vision que ne partage pas le directeur des affaires publiques à l’AFM-Téléthon. « Même si on n’a pas de médicament efficace dès la naissance, cela peut éviter des errances diagnostiques très lourdes plus tard, pouvant générer des pertes de chance importantes pour la survie de l’enfant. »Un long processusChristophe Duguet voit également dans ce différentiel la conséquence de la lourdeur administrative française. « En France, on veut absolument être sûr d’avoir fait toutes les études pour prouver que la détection est bénéfique et utile, mais le temps presse car des vies sont en jeu. Pour l’amyotrophie spinale infantile, il existait depuis quatre ans trois traitements efficaces, mais aucun bébé ne pouvait en bénéficier avant l’apparition de symptômes faute de détection. »Le docteur Bregeaut voit dans cette temporalité « un processus très rigoureux scientifiquement ». « Pour ajouter une maladie, il faut saisir la HAS, qui mandate une quinzaine d’experts et qui analyse toute la littérature scientifique », souligne le médecin. Une fois l’avis positif rendu, c’est au gouvernement de charger le CNPDM de mettre en place la détection dans toutes les maternités de France.Un fonctionnement nationalPour le déficit immunitaire combiné sévère (DICS), groupe de maladies graves dont la plupart des bébés touchés décéderont dans la première année de leur vie, sans traitement, la HAS a rendu un avis positif en février 2022, mais ce n’est que le 1er septembre 2025 que sa détection a été mise en place. « C’est plus long que dans d’autres pays car la France fonctionne au niveau national, pour une question d’égalité des chances, contrairement à d’autres pays, comme l’Italie ou les Etats-Unis, qui fonctionnent par Etats », avance le docteur Bregeaut.Mais le médecin se veut optimiste : « On est dans une dynamique très positive. » Il l’assure, trois à cinq maladies, dont celles lysosomales, devraient rejoindre la liste de celles détectées à la naissance d’ici 2028.

Tri dans vos placards : les épices peuvent-elles se périmer ? Comment les conserver au mieux ? huffingtonpost.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 07:00

 + Oubliées ou peu utilisées, tout le monde a dans ses placards des épices qui datent d’il y a plusieurs mois, voire années. Peuvent-elles périmer ou devenir dangereuses pour la santé ? Réponses d’une spécialiste.

"C’est un long et difficile chemin" : mort il y a cinquante ans, Franco divise encore l’Espagne lexpress.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 07:00

 + Il y a ceux qui répondent du bout des lèvres, masquant avec difficulté leur lassitude à parler de Franco. Ceux qui soupirent d’exaspération, à peine le nom du Caudillo est-il prononcé. Et puis ceux, comme Juan Francisco Fuentes, professeur à l’université Complutense de Madrid et membre de l’Académie royale d’histoire, qui éconduisent d’une phrase couperet : "J’ai décidé de ne pas donner d’interviews sur le sujet, sinon je ne ferais rien d’autre dans la vie." En Espagne, nombreux sont les historiens à afficher gêne et perplexité face aux commémorations de la mort de Francisco Franco. En novembre prochain, il y aura un demi-siècle que le "généralissime" est mort, après avoir dirigé d’une main de fer une Espagne sous cloche pendant près de quatre décennies. Des conférences et des expositions L’actuel chef de l’exécutif, le socialiste Pedro Sanchez, y voit l’occasion de mener un nouveau travail de mémoire, à travers des dizaines de conférences, expositions et programmes audiovisuels dans toute la péninsule. "Tous les citoyens, sans distinction d’idéologie, de sexe, de race ou d’origine sont invités à participer", indique le site d'"España en libertad", nom donné à ces événements organisés tout au long de l’année.En 1975, expliquent les autorités, "l’Espagne a entamé un long et difficile chemin pour retrouver la liberté et la démocratie". Cinquante ans plus tard, il s’agit de "se souvenir de ce début de succès collectif" et de célébrer "le pays prospère, pluriel et démocratique" que le royaume est devenu. La droite, dans l’opposition, s’insurge et dénonce une manigance politicienne destinée à rassembler la gauche derrière un gouvernement dont la majorité au Congrès des députés, depuis les législatives de juillet 2023, ne tient qu’à un fil, grâce à l’appui des indépendantistes basques et catalans.En mars, la polémique a pris un tour acerbe lorsque la presse ibérique a révélé que ces célébrations allaient coûter la bagatelle de 20 millions d’euros au budget de l’Etat. "Il y a en Espagne le sentiment général que cette opération relève d’une instrumentalisation politique. Remettre Franco dans les pattes de la droite, c’est le meilleur moyen de réactiver la gauche en l’absence d’échéance électorale à court ou moyen terme", estime l’historien français Benoît Pellistrandi, spécialiste de l’Espagne contemporaine.Ce dernier pointe au passage le risque de "simplification à l’extrême" d’une période déjà "très étudiée" par sa discipline, les pionniers de l’histoire contemporaine étant parvenus en leur temps à la conclusion que ce qui s’est produit en Espagne après la guerre civile (1936-1939) "n’a pas été une anomalie mondiale en soi". D’après Benoît Pellistrandi, "l’anomalie, c’est que la dictature ait duré jusqu’en 1975, jusqu’à la mort de Franco dans son lit, laquelle a agi comme un bouchon de champagne qui saute". De fait, le franquisme a pris fin trente ans après la Seconde Guerre mondiale et la déroute du fascisme italien et du nazisme allemand, sans échec militaire face à un camp allié contre Madrid.Le retour de la démocratie en Espagne Il n’en demeure pas moins que l’initiative du gouvernement Sanchez est jugée salutaire par d’autres historiens. Tel est le cas de l’Italien Steven Forti, spécialiste de l’extrême droite à l’Université autonome de Barcelone. "La question est de savoir ce que l’on célèbre", dit-il. En clair : la mort de Franco en 1975 n’a pas sonné la fin de la dictature, mais le commencement de la fin. Il faudra en effet attendre l’organisation d’élections en 1977 et l’adoption d’une nouvelle Constitution, en 1978, pour que soit scellé le retour de la démocratie en Espagne. "L’idée de prendre pour repère la mort de Franco est symbolique. Le 20 novembre 1975 a marqué le début d’un long et complexe processus de transition qui mènera en 1982 à l’arrivée au pouvoir du socialiste Felipe Gonzalez, un novice en politique, cinquante ans plus jeune que Franco. C’est important de le rappeler, dans le contexte mondial actuel où la démocratie recule et où émerge l’extrême droite", relève Steven Forti.Car tel est bien le sujet central aujourd’hui. Apparu en 2013 dans le paysage politique, à l’initiative de transfuges de la droite libérale, le parti ultranationaliste et conservateur Vox est crédité de 14,1 % des intentions de vote par le baromètre de l’institut 40dB paru début avril dans le quotidien El Pais. Trois points de plus que le résultat obtenu aux dernières élections générales. En y additionnant les 2,7 % que pourrait récolter de son côté Se Acabo La Fiesta ("La fête est finie"), coalition populiste née sur les réseaux sociaux à l’occasion du scrutin européen de juin 2024, l’extrême droite espagnole pèse désormais potentiellement près de 17 %. Du jamais vu depuis la mort de Franco.Cette extrême droite n’a pas connu la dictature et incarne pourtant la nostalgie du franquisme, comme elle l’a montré en 2019 lors de l’exhumation de Franco sur décision du Congrès des députés. A la suite du transfert des restes du Caudillo du mausolée monumental de la vallée de Los Caidos (au nord-ouest de Madrid) au cimetière de Mingorrubio, quelque 300 000 personnes avaient défilé en deux jours dans la chapelle ardente qui y avait été dressée. "On peut parler de résurgence, car pendant quarante ans l’Espagne s’était parfaitement passée de Franco. Désormais, on entend fréquemment que "c’était mieux sous Franco", en réaction aux exagérations du discours de la gauche", note Benoît Pellistrandi.A mesure que l’extrême droite monte dans les sondages, le Parti populaire (PP), qui représente la droite présumément "modérée", renoue pour sa part avec les vieux démons de la formation dont il est l’héritier, Alliance populaire, et de son fondateur Manuel Fraga, ancien ministre très puissant de l’époque franquiste. "Le PP reste mal à l’aise avec le thème de la dictature. Jamais, même quand il a été au pouvoir avec José Maria Aznar [1996-2004] ou Mariano Rajoy [2011-2018], il n’a souhaité faire l’inventaire du franquisme et le condamner explicitement. Sa rhétorique consiste à dire qu’on ne parle pas des vieilles blessures pour ne pas les réveiller", analyse l’historien français.Des youtubeurs d'extrême droite populaires Malgré les lois mémorielles adoptées sous les gouvernements de gauche de José Luis Zapatero (2004-2011) et de Pedro Sanchez (aux commandes du pays depuis 2018) pour rétablir les droits des victimes de la guerre civile et de la dictature, les saluts et autres chants fascistes ont le vent en poupe, notamment en milieu scolaire. "Grâce aux réseaux sociaux, se réjouit Manuel Mariscal, député de Vox, beaucoup de jeunes sont en train de découvrir que le franquisme n’a pas été une période sombre, comme le gouvernement nous le fait croire, mais une période de reconstruction, de progrès et de réconciliation pour parvenir à l’unité nationale."Inquiets de la popularité des youtubeurs d’extrême droite, les historiens mettent en garde contre le révisionnisme ambiant et la tendance à raconter que Franco ne fut pour rien dans le déclenchement de la guerre civile qui devait conduire à la dictature. Un retournement qui fait écho à la réécriture de la genèse de la guerre en Ukraine par Vladimir Poutine et Donald Trump.

Red Bull : « J’en bois deux à trois par jour »… Les ados pas inquiets de l’interdiction de vente de la boisson 20minutes.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 06:37

 + Mercredi, le gouvernement britannique a annoncé qu’il allait interdire la vente de boissons énergisantes comme le Red Bull aux jeunes de moins de 16 ans en Angleterre afin d’« améliorer leur santé physique et mentale » et de lutter contre l’obésité. Et si cette mesure arrivait en France ? « J’m’en fiche. » Devant le collège Raoul-Dufy, dans le 3e arrondissement de Lyon, les réactions sont presque unanimes. Qu’ils consomment ou non ces boissons, ces adolescents restent « indifférents » à la nouvelle venue d’outre-Manche.Certains jeunes confient qu’ils n’en ont jamais goûté. « Pas besoin de l’Angleterre, ma mère m’interdit déjà d’en boire », lance d’un d’entre eux. Marwan, 15 ans, enchaîne : « C’est même pas bon, en vrai. Moi, j’ai essayé d’en boire une fois, j’ai commencé à vomir. » Son ami Pharel, 14 ans, ajoute : « Mais oui, c’est dangereux pour le cœur, faut pas en boire tout simplement. Ça devrait être interdit pour tout le monde ! »D’après le ministère de la Santé britannique, des recherches ont effectivement révélé des effets néfastes sur la santé des adolescents, comme des troubles du sommeil, une augmentation de l’anxiété et une baisse de la concentration. Les boissons riches en sucres endommagent également les dents et contribuent à l’obésité.« Deux à trois en une journée »Si beaucoup de ces jeunes assurent « ne jamais en boire » et que dans ce collège lyonnais, l’usage n’est « pas répandu », c’est peut-être aussi parce que les boissons énergisantes sont interdites dans les établissements scolaires. « Elles ne doivent pas être consommées par les enfants et les adolescents », indique un texte publié dans le bulletin officiel, adressé aux rectrices et recteurs d’académie datant de 2008, année durant laquelle leur commercialisation a été autorisée en France.Mais Myriam affirme qu’« il y a plein de mythos ». « Tout le monde en boit ! », assure cette adolescente de 13 ans. De son côté, elle en consomme plusieurs canettes par jour depuis « cinq ans ». « Ça fait super longtemps » que ça s’est popularisé dans sa génération, estime la collégienne.Notre rubrique SantéChaïnez, 14 ans, est aussi « une accro », selon ses camarades. « C’est vrai que pendant un moment, c’était une obsession, admet-elle. Mais je me suis calmée. J’aime trop le goût, surtout la Red Bull rose, celle à la pêche blanche. » Malak, 15 ans, s’exclame, en souriant : « C’est ma préférée aussi mais j’aime toutes les saveurs. » Elle a conscience que « ça peut être dangereux » mais elle continuera tant qu’elle pourra. « J’en consomme parfois deux à trois dans la journée, détaille-t-elle. Ce n’est même pas pour les effets excitants ou quoi, c’est juste parce que c’est bon. Certains prennent du Sprite ou du Coca et moi, je prends ça ! » « Dans tous les cas, elle fait plus vieille donc elle pourra quand même continuer d’en acheter si jamais », glisse une de ses copines, « absolument pas inquiète » de l’annonce en Angleterre.

« C’est le chant du cygne » : Bayrou fait une interview par jour et un communicant analyse cette stratégie huffingtonpost.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 06:25

 + Sur France 2 jeudi puis sur RTL ce vendredi, le Premier ministre tente le tout pour le tout. Gaspard Gantzer explique au HuffPost ce que révèle cette surexposition.

🔴 Déficit commercial, Revolut, fabricants de batteries à la peine... L'essentiel de l'actualité ce vendredi 5 septembre latribune.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 06:18

 + La Tribune sélectionne pour vous les principales informations économiques tout au long de la journée.

Bretagne : C’est quoi ce squat avec vue sur mer que tout le monde veut racheter ? 20minutes.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 06:02

 + C’est un site tout simplement exceptionnel. Perché au-dessus des rochers avec une vue imprenable sur la presqu’île de Crozon, le site des Roches Blanches a longtemps accueilli des colonies de vacances. Comme beaucoup d’autres en Bretagne, le centre d’accueil situé à Douarnenez a petit à petit été délaissé, jusqu’à être abandonné. Dans la région, bon nombre de ces anciennes colos ont disparu, laissant un paquet de bâtiments sans occupant.Ce fut le cas aux Roches Blanches, quand la Fédération des œuvres complémentaires de l’école publique de l’Yonne (FOCEPY), qui avait racheté le site en 1999, a été liquidée. C’était en 2007. Pendant plusieurs années, l’ancien hôtel bâti au début du XXe siècle et les bâtiments construits par la CAF dans les années 1960 sont restés vides. Jusqu’à l’arrivée de nouveaux occupants en 2010. Des locataires pas déclarés, qui occupent depuis les terres et les bâtiments. Sans bail, ni contrat. Mais pas sans idées. Pendant plus de quinze ans, l’occupation s’est globalement faite sans heurts. Mais depuis quelques mois, le site fait l’objet de convoitises. Ce mercredi, il devait même être vendu aux enchères devant le tribunal de Quimper. Une vente finalement reportée au mois de décembre, certains diagnostics n’ayant pu être effectués, rapportent nos confrères de Ouest-France. Le département du Finistère, qui voulait racheter les trois hectares, venait de voter en faveur d’une enchère pouvant grimper jusqu’à 500.000 euros, qui aurait dû lui permettre d’empocher la mise.Cinquante personnes « de 4 mois à 55 ans »La collectivité devra finalement patienter jusqu’au 17 décembre, date de la nouvelle vente, pour enchérir. Mais d’ici là, les occupants du site espèrent bien faire grimper leur cagnotte en ligne, sur laquelle près de 100.000 euros ont déjà été versés. Avec leur association Le sens de la vis, ils assurent même avoir réuni les 200.000 euros nécessaires à la première enchère. Leur objectif : « que ce lieu de vie, d’accueil, d’ateliers et d’évènements perdure », expliquent-ils.Selon eux, une cinquantaine de personnes âgées « de quatre mois à 55 ans » habitent sur le site. Une occupation que les opposants n’hésitent pas à qualifier de « ZAD » mais qui ressemble davantage à un lieu artistique autogéré dans une ville à la réputation punk. Terre de pêcheurs, Douarnenez a toujours été rebelle, s’érigeant contre l’afflux de croisiéristes. Il y a cent ans, les sardinières avaient entamé une grève dont elles ressortiront victorieuses, marquant pour toujours l’histoire de la ville aux trois ports.Un « refuge » pour les gens de passageSite touristique connu, la capitale du kouign amann héberge aussi de nombreuses résidences secondaires, empêchant les habitants les plus modestes de se loger. Depuis sa création, le squat des Roches Blanches a donc servi « de refuge » à un millier de personnes « en voyage ou en difficulté », assurent les occupants. « Ce lieu répond concrètement à des besoins urgents : se loger, se reconstruire, créer, cultiver, partager », expliquent-ils.Dans leur lutte, les habitants ont même reçu le soutien de plusieurs artistes, comme les humoristes Guillaume Meurice, Blanche Gardin ou encore l’agriculteur militant Cédric Herrou, qui ont publié une tribune commune.Le département veut « renaturer » le siteCe message de solidarité n’est pas vraiment partagé pas le département du Finistère. Dirigée par Maël de Calan et par la droite, la collectivité, qui compte dans sa majorité la maire divers droite de Douarnenez, veut racheter les Roches Blanches. Son ambition ? « Mener sur ce site remarquable une opération exemplaire de renaturation et d’ouverture au public, au titre des espaces naturels sensibles ». Le conseil départemental promet d’entamer « une démarche de concertation avec les habitants qui occupent illégalement le site » s’il parvient à acquérir le site. Une délibération « précipitée » selon les élus d’opposition, qui demandent « de la transparence » et « le respect des familles » présentes aux Roches Blanches. Rendez-vous donc en décembre pour savoir qui empochera le site tant convoité. Précisons que la zone étant classée « espace naturel protégé », elle ne pourra faire l’objet d’aucune nouvelle construction, ce qui écarte tout risque d’une spéculation immobilière incontrôlée.

En direct, Gaza : la reconnaissance d’un Etat palestinien « rendrait le cessez-le-feu difficile », déclare le chef de la diplomatie américaine lemonde.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 05:55

 + Marco Rubio a critiqué, jeudi, la France et d’autres pays disposés à reconnaître l’Etat palestinien, affirmant les avoir prévenus de possibles représailles de la part d’Israël sous la forme d’une annexion de territoires en Cisjordanie.

Donald Trump va redonner au Pentagone son nom d’il y a 80 ans, et c’est tout un symbole huffingtonpost.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 05:45

 + Le président des États-Unis va signer un décret pour changer le nom du « ministère de la Défense » en « ministère de la Guerre », qui existait jusqu’en 1947.

Emmanuel Macron, la démission et l’ombre de De Gaulle lexpress.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 05:45

 + Derrière Emmanuel Macron, un livre ouvert. Les Mémoires de guerre du général de Gaulle ornent le portrait officiel du chef de l’Etat. Depuis 2018, une croix de Lorraine est intégrée au logo de l’Elysée. Ces symboles préemptent une filiation politique. Le président de la République puise son inspiration dans la figure de l’homme du 18 juin, entre son goût pour la verticalité et sa défense d’une présidence jupitérienne, paré de noblesse politique. "Ce n’est pas la gauche, la France ! Ce n’est pas la droite, la France", professait le grand homme en 1958. Emmanuel Macron a théorisé le "en même temps", empruntant à son prédécesseur la mythologie d’un espace transpartisan.Jean-François Copé a donc pris Emmanuel Macron au mot. Le maire de Meaux appelle le chef de l’Etat à un "geste gaullien" pour sortir la France de la crise, à quelques jours de la chute probable de François Bayrou : une démission, suivie d’une élection présidentielle anticipée. Le général n’a-t-il pas quitté ses fonctions après le référendum perdu de 1969 ? "Cela remettrait la Ve République debout. Nous n’avons pas un problème institutionnel […] Le système politique est dysfonctionnel", a-t-il assuré sur RTL. Un nouveau président légitimé par les urnes, en phase avec une majorité parlementaire issue de nouvelles législatives. Le fait majoritaire renaît de ses cendres. Plus Ve, tu meurs !"Débat désagréable"A droite, un tabou se lève autour d’un départ anticipé du chef de l’Etat. Le maire de Cannes David Lisnard souhaite que le président prenne "acte de son échec". Valérie Pécresse, avec des mots plus feutrés, émet l’hypothèse d’une nouvelle présidentielle en cas d’absence d’accord de non-censure autour du prochain budget. "Dans ce cas, retour aux urnes", a-t-elle lancé sur BFMTV. Et tant pis si Emmanuel Macron répète qu’il ira au bout de son mandat. Ces appels à la démission, jadis monopole du Rassemblement national et de La France insoumise, gagnent des terres inattendues. Ainsi, l’Elysée déplore l’élargissement de la fenêtre d’Overton, ce périmètre des idées acceptables dans le débat public. "Il est désagréable que ce débat soit posé à chaque crise et par plus de responsables", note un proche du chef de l’Etat. En marge du Conseil des ministres le 3 septembre, Emmanuel Macron s’est agacé de ces appels à la démission auprès d’un participant.Bruno Retailleau les goûte peu. Le ministre de l’Intérieur se drape d’habits gaullistes pour récuser ces demandes. "J’appelle les hommes et femmes politiques à faire en sorte qu’il n’y ait pas de pression pour la démission du président de la République. Cela fragiliserait nos institutions", a-t-il assuré sur TF1, défendant une "liberté" d’Emmanuel Macron en la matière. "Le raisonnement politique de Jean-François Copé se tient. Mais dès lors qu’Emmanuel Macron a décidé de rester jusqu’au bout, toute gesticulation rajoute au brouillage et à l’incertitude, analyse l’historien Arnaud Teyssier, auteur de Charles de Gaulle : L’angoisse et la grandeur (Perrin). Il faut essayer de gouverner la France tant bien que mal sans ajouter à la confusion et l’instabilité, ce qu’énonce Bruno Retailleau. L’intérêt national doit commander, c’est le vrai raisonnement gaullien." Parler ou se taire : là réside le clivage interne à la droite. De ces postulats découlent des approches distinctes, frappées du sceau du gaullisme. Les avocats d’une démission prétendent redonner toute sa substance à la Ve République. Ses adversaires s’érigent en gardien du temple et agitent le spectre d’un "précédent" fâcheux."Les oppositions se défaussent"La démission d’un chef de l’Etat n’obéit à aucune doctrine. Le général de Gaulle estimait que seul un soutien franc de la population justifiait l’exercice de prérogatives exorbitantes. De référendums en dissolutions, il s’est livré à des exercices réguliers de relégitimation, jusqu’à l’échec de 1969. La confiance populaire, condition de la légitimité ? Ses successeurs se sont détachés de cette règle. François Mitterrand a accepté la cohabitation en 1986. Jacques Chirac a enjambé le rejet de la Constitution européenne en 2005, malgré les appels à la démission de la gauche. "On ne pose pas une question sur qui doit nous gouverner dans les cinq ans qui viennent", justifiait-il à l’époque.L’impopularité des gouvernants est devenue structurelle. Les présidents n’ont d’autre choix que de se réfugier derrière leur élection pour justifier leur pouvoir. Légalisme et légitimité se confondent. La Constitution est un bouclier. Son texte l’emporte désormais sur son esprit. "En 2014, plus de 60 % des Français étaient favorables à la démission de François Hollande. Il ne faut pas inventer le mandat révocatoire", note-t-on à l’Elysée. Après tout, le président exerce en toute quiétude ses responsabilités propres, de la gestion du domaine réservé aux diverses nominations.Les appels à la démission sont cette fois insolites. Ils sont le fruit du blocage parlementaire, imputé au chef de l’Etat depuis la dissolution. Voilà le pouvoir exécutif ciblé pour l’incurie du pouvoir législatif. "Les institutions de la Ve République ne rendent pas responsable le président devant le Parlement", met en garde le vice-président de LR Julien Aubert. "La crise vient du Parlement et pas de Macron, ajoute l’ancien député MoDem Jean-Louis Bourlanges. La droite peut déplorer l’erreur politique de la dissolution, mais le peuple ne peut pas reprocher à Macron d’avoir fait appel à lui. Les oppositions se défaussent aujourd’hui de leur responsabilité.""Ils ne cherchent pas à sortir de la verticalité"Les appels à la démission du chef de l’Etat n’échappent pas à l’ambiguïté. Jean-Luc Mélenchon s’érige en héraut d’une VIe République, où la démocratie parlementaire serait reine. Il multiplie pourtant les appels à une présidentielle anticipée, écartant toute négociation au Parlement. L’appel à la destitution ne fige-t-il pas la nature présidentielle du régime, pourtant souple selon la couleur de l’Assemblée ? "Ils reprochent à Macron la verticalité mais ne cherchent pas à en sortir, note un ancien ministre Renaissance. Car la verticalité permet de charger celui qui est au sommet de la pyramide. Tout le monde y trouve son compte." L’appel à la démission est aussi une abdication de responsabilité.Le chef de l’Etat n’est pas étranger à cette pression. La dissolution ne lui a été imposée par personne, ce qui le rend "coupable" de son résultat. Emmanuel Macron s’est astreint dès l’été 2024 l’obligation de choisir un Premier ministre "non censurable" par l’Assemblée nationale, s’immisçant de manière inédite dans la vie parlementaire. Un intime s’étonnait à l’époque de ce curieux président, incapable "d’envisager une réalité qui ne dépende pas de lui". "J’ai toujours pensé qu’il valait mieux qu’il reste à l’écart pour se protéger", glisse une ministre. Vœu pieux. La césure entre l’Elysée et le Parlement n’existe plus depuis le 7 juillet 2024. L’appel à la démission du chef de l’Etat est hybride : pour la gauche, il vise la personne même du président ; à droite, il cible autant le pouvoir législatif qu’exécutif.

Guerre à Gaza : “La société israélienne a élevé le déni au rang de véritable art” courrierinternational.com
vendredi 5 septembre 2025 à 05:00

 + Dans leur grande majorité, les Israéliens sont partagés entre le rejet instinctif et l’indifférence hypocrite à l’égard des atrocités commises dans l’enclave palestinienne, malgré des preuves irréfutables, déplore ce sociologue israélien dans le média “+ 972 Magazine”. Il explique pourquoi ce phénomène a pris une telle ampleur.

Limiter le nombre de restos en France ? Tempête dans l’assiette au pays de la gastronomie courrierinternational.com
vendredi 5 septembre 2025 à 05:00

 + Le nombre de restaurants a explosé en France. Au point que les exploitants, devenus trop nombreux, voient fondre leur chiffre d’affaires. L’idée circule d’instaurer un numerus clausus. Et ce n’est pas un tartare de poisson d’avril, explique le journal belge “Le Soir”.

Au Monténégro, la ville de Kotor prise entre le marteau du tourisme et l’enclume de l’Unesco courrierinternational.com
vendredi 5 septembre 2025 à 05:00

 + L’inscription de cette ville sur la liste du patrimoine mondial depuis 1979 a été un cadeau empoisonné : elle attire les touristes mais se retrouve désormais submergée. Et les règles strictes de l’Unesco l’empêchent de se désengorger, explique l’envoyé spécial du quotidien croate “Jutarnji List”.

Féminicide : vingt-deux ans de prison pour le policier qui avait étranglé sa compagne en 2022 lemonde.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 04:22

 + Arnaud Bonnefoy, décrit comme un jaloux « tyrannique », avait tué Amanda Glain après une énième dispute, au terme de laquelle la jeune femme de 28 ans lui avait annoncé qu’elle voulait le quitter.

Donald Trump souhaite renommer le Pentagone « département de la guerre » lemonde.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 03:39

 + Le président américain va signer, vendredi, un décret visant à autoriser cette appellation « historique » utilisée de 1789 à 1949 pour le département de la défense.

Donald Trump renomme le ministère de la Défense en ministère de la Guerre france24.com
vendredi 5 septembre 2025 à 03:04

 + Le président américain Donald Trump va renommer le ministère de la Défense en ministère de la Guerre, une appellation qui a existé de 1789 à 1949, a annoncé jeudi la Maison Blanche, "un nom qui reflète sa puissance sans égale et sa capacité à protéger les intérêts nationaux".

Etats-Unis : Trump rebaptise le ministère de la Défense en « ministère de la Guerre » 20minutes.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 02:04

 + Donald Trump a officialisé vendredi un changement historique. Selon CNN, le président américain a signé un décret exécutif rebaptisant le ministère de la Défense en « ministère de la Guerre ». Une décision symbolique qui marque le retour à l’appellation utilisée jusqu’en 1949, lorsque Harry S. Truman avait réorganisé l’appareil militaire américain au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Lors d’un échange avec des journalistes en août dernier, le président des Etats-Unis avait déjà laissé entendre qu’un tel geste se préparait. « Nous appelons ça le ministère de la Défense, mais entre nous, je pense qu’on va changer le nom », avait-il déclaré depuis le Bureau ovale. « Défense, c'est trop défensif, et nous voulons aussi être offensifs. »Et d’ajouter : « Nous avons gagné la Première et la Seconde Guerre mondiale – c’était le ministère de la Guerre, et pour moi c’est vraiment ce que c’est. La défense en fait partie, mais j’ai le sentiment que nous allons changer. »« Les mots comptent. Les titres comptent »Le secrétaire à la Défense Pete Hegseth avait confirmé, mercredi, lors d’un déplacement à Fort Benning, que l’annonce du changement de nom du Pentagone était imminente. « Je dirais attendez demain », avait-il confié. Il avait justifié ce choix par une volonté de renouer avec l’héritage des fondateurs : « Les mots comptent. Les titres comptent. Les cultures comptent. Et George Washington a fondé le ministère de la Guerre. »Historiquement, ce ministère fut institué en 1789 pour encadrer l’Armée américaine. Il avait disparu en 1949 après le vote du National Security Act, qui regroupa l’Armée de terre, la Marine et la nouvelle Armée de l’air dans une seule structure : le ministère de la Défense, dirigé par un secrétaire d’Etat civil.Réhabiliter les symboles militairesPlus généralement, ce geste s’inscrit dans une série d’initiatives de l’administration Trump pour réhabiliter certains symboles militaires. Pete Hegseth avait déjà annulé plusieurs décisions prises par Joe Biden, rétablissant notamment les noms de bases comme Fort Bragg ou Fort Hood, tout en leur attribuant de nouvelles figures historiques portant les mêmes patronymes. En juin, il avait également ordonné le changement de nom d’un navire de la marine qui portait celui du militant pour les droits des homosexuels et vétéran de la Navy, Harvey Milk.Notre dossier sur le PentagoneCNN souligne toutefois qu’un précédent de cette ampleur avait nécessité une loi du Congrès. Reste à savoir si ce décret présidentiel suffira à imposer le retour du « ministère de la Guerre ».

Gaza : l’armée israélienne promet d’intensifier ses opérations pour prendre la ville de Gaza, qu’elle dit contrôler à 40 %. Retrouvez les informations du 27 août au 4 septembre lemonde.fr
vendredi 5 septembre 2025 à 00:20

 + « Nous augmenterons la pression sur le Hamas jusqu’à sa défaite. Nous continuerons de le traquer partout », a déclaré, jeudi, Effi Defrin, porte-parole de l’armée israélienne.