L'Assemblée nationale terminera l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026 et procèdera au vote solennel ce mardi 9 décembre en fin d'après-midi. Vendredi soir, la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin chiffrait le déficit de la Sécu à 22,5 milliards d'euros.
Historiquement engagée pour l’environnement, Nature & Découvertes est désormais approvisionné en grande partie, par des usines asiatiques, selon plusieurs témoignages recueillis par BFM Business. Certains produits vendus par l’enseigne sont même disponibles sur les plateformes chinoises comme Shein, Temu ou AliExpress, à prix cassés. L’entreprise qui appartient au groupe Fnac-Darty voit ses résultats chuter et est contrainte de fermer des magasins.
À quelques exceptions, les ouvrages des figures de la vie politique ne sont que rarement des succès de librairie. Pourtant, les éditeurs continuent d'en publier chaque année et les élus y voient toujours un accélérateur de victoires électorales.
Alors que les dossiers de contentieux s’accumulent avec le Vieux Continent, le président américain juge que l’Europe prend « certaines mauvaises directions ».
Alors que pendant des siècles, l’Europe a imposé sa volonté au monde entier, l’inverse serait-il en train de se produire ? Directeur du programme Dahrendorf au centre d’études européennes à l’université Oxford, Dimitar Bechev a développé le concept en vogue de "ruée vers l’Europe" ("scramble for Europe") pour montrer comment le Vieux Continent est aujourd’hui la proie des grandes puissances, de la Chine aux Etats-Unis en passant par la Russie. Il publiera l’année prochaine un livre à ce sujet.Alors que la nouvelle stratégie de sécurité nationale américaine ne masque plus son hostilité envers une Europe jugée en plein "effacement civilisationnel", Dimitar Bechev remet pour L’Express ce texte en perspective, en soulignant les contradictions entre les différents courants trumpistes, avec au milieu un Donald Trump plus imprévisible que jamais. Le chercheur analyse aussi les menaces très différentes que représentent la Russie et la Chine. Si l’Europe veut redevenir un acteur et non un objet passif des relations internationales, elle doit selon lui augmenter son budget de la défense, appliquer les recommandations économiques de Mario Draghi, tout en développant des relations stratégiques avec ses voisins proches. Entretien.L’Express : Votre concept de "ruée vers l’Europe" est de plus en plus cité par les spécialistes, du politologue bulgare Ivan Krastev au chroniqueur du Financial Times Gideon Rachman. Qu’entendez-vous par là ?Dimitar Bechev : L’Europe est passée d’un rôle de décideur ou de faiseur d’événements à celui d’objet de la politique internationale. L’Union européenne comme le Royaume-Uni sont sur la défensive. C’est très différent par rapport aux années 1990 et 2000, que je considère comme un "pic européen", avec alors une période d’expansion et d’approfondissement de l’UE.De quand date le tournant ?La crise économique mondiale de 2008 a été un tournant. Le retour au pouvoir de Vladimir Poutine en 2012, après la parenthèse Medvedev, aussi. Tout comme en Turquie, l’effondrement des négociations d’adhésion à l’UE et l’évolution autoritaire du régime d’Erdogan. En Chine, l’arrivée au pouvoir de Xi Jinping en 2013 marque également un tournant. Il y a ainsi une période de bascule entre 2008 et 2013.D’un point de vue historique, cette notion de "ruée vers l’Europe" suggère un renversement complet par rapport à la période impérialiste de l’Europe. C’est désormais elle qui serait la cible de prédateurs extérieurs…Oui, même s’il faut nuancer cette vision. L’Ukraine est un bon exemple. Le fait qu’après le dernier élargissement de 2004, l’Union européenne soit arrivée aux frontières de l’Ukraine a renforcé la motivation des Ukrainiens de la rejoindre. Ils veulent être inclus dans ce système. Ce qui a d’ailleurs déclenché la réponse violente de la Russie. Aujourd’hui, on constate que l’attrait de l’UE en tant que marché économique, mais aussi comme espace sûr, reste élevé. Il n’y a donc pas de revirement historique complet. Mais l’environnement mondial nous est bien moins favorable. Les grands acteurs, notamment les États-Unis de Donald Trump, mais aussi, bien sûr, la Chine et la Russie sont beaucoup plus hostiles que par le passé.Les Etats-Unis de Donald Trump semblent se désintéresser de l’Europe sur le plan militaire, tout en revendiquant une influence idéologique et un soutien aux partis "patriotiques", comme on l’a vu avec la nouvelle stratégie de sécurité américaine…Il y a différents courants chez les trumpistes qui tirent dans des directions différentes. Il y a les isolationnistes, qui veulent réduire tous les engagements, en particulier sur le plan militaire, envers l’Europe. Il y a les idéologues qui veulent répandre leur révolution et voir l’extrême droite triompher en Europe. Leurs opinions se reflètent dans cette nouvelle stratégie de sécurité nationale, avec la volonté affichée de voir émerger de nombreux régimes d’extrême droite à l’image de Trump. Mais il reste une droite républicaine plus traditionnelle, qui croit toujours en l’alliance occidentale. Ils étaient beaucoup plus influents dans la première administration Trump, moins aujourd’hui. Et au milieu, il y a Trump qui peut aller dans n’importe quelle direction. Il a des relations personnelles avec de nombreux dirigeants européens, et ces dirigeants eux-mêmes essaient de les cultiver. Macron en est un bon exemple. Malgré toutes leurs différences, je pense qu’ils ont réussi à établir une relation personnelle. Keir Starmer aussi. Trump est même devenu un atout pour un Parti travailliste en perte de popularité. Sa visite officielle au Royaume-Uni a donné un coup de pouce au gouvernement pourtant de centre gauche. Cela montre qu’il y a un facteur personnel important avec Trump, qui peut annuler les grandes considérations idéologiques.L’objectif ultime de la Russie, c’est de refondre l'ordre européen à son image.Le principal prédateur sur le plan militaire est la Russie. L’Europe semble exclue des discussions entre les grandes puissances au sujet de la guerre en Ukraine…L’objectif ultime de la Russie, c’est de refondre l’ordre européen à son image. Elle n’en a peut-être pas les moyens, mais elle en a certainement l’intention et l’ambition. Démanteler l’Union européenne en tant qu’ensemble d’institutions supranationales, chasser les Américains d’Europe, revenir à un monde d’États-nations et de grandes puissances, voilà un projet très radical. Cette vision n’est d’ailleurs pas partagée par la Chine, qui a d’autres projets ambitieux.A l’heure actuelle, il est clair que le temps joue en faveur de Poutine. Il a engagé des discussions avec les Etats-Unis, ce qui lui permet de gagner du temps tout en ne parlant pas aux Européens. A l’époque des négociations de Minsk, lorsque François Hollande et Angela Merkel étaient engagés dans les négociations, Moscou espérait déjà qu’il y ait une ligne de communication séparée avec l’administration Obama, et que les grands de ce monde puissent régler les problèmes européens entre eux. C’est ce qui se passe désormais avec Trump.Poutine essaie de conquérir autant de territoires que possible en Ukraine, voire d’influencer des changements politiques à Kiev. Mais il garde ses options ouvertes. S’il y a un accord de sortie de conflit avec les Etats-Unis, il l’acceptera probablement. C’est une opportunité stratégique pour lui.Sur le plan économique, le défi le plus sérieux pour l’Europe vient clairement de la Chine, alors même que le chantage énergétique brandi par Poutine ne semble pas avoir fonctionné…On a exagéré le fait que le gaz russe puisse être une "arme". En fin de compte, les pays européens se sont, sur le plan énergétique, ajustés à la situation après l’invasion russe en Ukraine.Au niveau économique, nous Européens avons tendance à être excessifs, d’un côté comme de l’autre. Dans les années 2000, il s’agissait de faire de l’Europe le marché le plus compétitif au monde. Aujourd’hui, nous ne serions nuls et ne servirions plus à rien. Pourtant, malgré les problèmes structurels liés à la démographie, à la technologie, à l’innovation, l’Europe a encore beaucoup à offrir. Dans le numérique, il y a des entreprises qui sont compétitives. Simplement, comme le montre le rapport Draghi, les pays européens ont des marchés trop réduits pour accéder au capital et stimuler l’innovation. C’est la clé. Nous souffrons de fragmentation et d’un manque d’échelle de nos économies.Par ailleurs, on peut dire que nous avons les réglementations les plus fortes concernant ces nouvelles technologies. La Commission européenne vient d’infliger une amende de 120 millions d’euros à X. Mais je ne suis pas sûr que cette stratégie fonctionne encore. Si l’Europe n’innove pas et ne joue pas dans la même ligue que la Chine ou les Etats-Unis en matière d’IA, dans quelle mesure pourra-t-elle conserver sa position de législateur face à ces puissances économiques ? C’est le grand défi de ces prochaines décennies.A quel point la puissance industrielle de la Chine est-elle une menace ?L’Allemagne a, sur ce sujet, un rôle clé. Les entreprises automobiles allemandes perdent des parts de marché en Chine, dans d’autres pays, mais aujourd’hui aussi en Europe, du fait d’une pression technologique chinoise. Cela a des implications pour le reste de l’économie européenne, avec notamment tous les fournisseurs de l’industrie automobile basés en Europe centrale. Le défi est aussi immense concernant les industries du futur : technologies vertes, biotechnologies, batteries, informatique quantique… Si la Chine empêche les entreprises européennes de se développer, c’est grave. Pékin assure que l’Europe, en durcissant le ton vis-à-vis d’elle, ne fait que suivre servilement la ligne américaine. Mais si la Chine a une surcapacité industrielle et qu’elle menace l’industrie européenne, c’est un enjeu essentiel pour notre prospérité. Cela n’a rien à voir avec les Etats-Unis.Les élections législatives en Hongrie en avril 2026 sont-elles essentielles pour l’avenir de l’Union européenne ? On sait par exemple qu’il y a plus d’investissements chinois dans ce pays qu’en France, Allemagne et Royaume-Uni réunis…La Hongrie est en train de devenir un pays totem, notamment pour le mouvement Maga aux Etats-Unis. Le fait qu’il puisse y avoir un Etat illibéral dans une union démocratique est politiquement conséquent. Il s’agit donc d’une élection clé qui pourrait faire basculer la Hongrie, ou au contraire la faire reculer encore plus sur le plan de la démocratie.En ce qui concerne l’influence chinoise, je doute en revanche que cette élection ait un impact significatif. Quel que soit le parti qui l’emportera à Budapest, il ne remettra pas en question ces engagements économiques envers la Chine. En revanche, pour la Russie, c’est un enjeu majeur, car la Hongrie a un pouvoir de veto. Même si, là encore, une défaite de Viktor Orban ne changera pas tout, Hongrie et Ukraine ayant des frictions sur des sujets économiques et agricoles.C’est en tout cas une élection importante, car en dépit de sa taille et de situation géographie, la Hongrie a un impact disproportionné sur un certain nombre de questions, de l’Ukraine aux États-Unis en passant par la prise de décision à Bruxelles.Emmanuel Macron est train de gagner la bataille des idées.Que devrions-nous faire pour lutter contre "cette ruée vers l’Europe" ?La France a eu raison de mettre en avant l’autonomie stratégique. C’est certes plus facile à dire qu’à faire, mais nous en voyons aujourd’hui les prémices. Dans mon livre, j’évoque trois types de réponses possibles. La première consiste à renforcer nos capacités d’endiguement, notamment par rapport à la Russie. Il est clair que nous devons augmenter nos budgets pour la défense, et il faut que l’Europe devienne un acteur militaire, au niveau de ses États membres comme collectivement. La deuxième réponse, c’est le programme de Mario Draghi, à savoir consolider notre marché commun et renforcer les institutions afin de créer davantage de ressources internes et de capacités économiques. Enfin, dans un monde de plus en plus hostile, il faut approfondir nos liens avec les pays situés à la périphérie de l’Union européenne, y compris le Royaume-Uni. Nous devons aussi être pragmatiques avec la Turquie. Le régime d’Erdogan n’est pas conforme à nos valeurs, mais malheureusement, c’est le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui. Ce n’est pas sans raison que les gouvernements européens sont restés très discrets sur la répression et l’emprisonnement du maire d’Istanbul Ekrem Imamoglu. Car la logique stratégique nous pousse à nous rapprocher encore plus de la Turquie, dans le domaine militaire notamment, mais pas que. Erdogan souhaite plus de liens économiques selon ses propres conditions, mais il n’est pas là pour défier frontalement l’Europe.Nous sommes obligés de soutenir des régimes autoritaires. C’est déjà le cas avec les Etats africains au sujet des migrations. Nous le faisons aussi en Azerbaïdjan pour des raisons énergétiques. La communauté politique européenne lancée par Macron après l’invasion de l’Ukraine illustre cette stratégie de cooptation. Essayons de construire une coalition, de nous rapprocher davantage des pays voisins.Enfin, au niveau plus mondial, la question est de savoir si l’Europe peut recréer une alliance avec des pays partageant les mêmes idées qu’elle, comme le Canada, l’Australie ou le Japon. Leur influence diminue aussi dans ce monde dominé par les grandes puissances. Les Etats-Unis sont-ils indispensables ? Nous pouvons peut-être faire des choses sans eux.Emmanuel Macron a déclaré l’année dernière au magazine The Economist que notre Europe "est mortelle"…J’ouvre justement mon prochain livre par cette citation [rires]. Macron est un homme politique qui aime provoquer afin de faire avancer son programme. C’était la même chose avec l’Otan en "état de mort cérébrale". Or nous avons vu que la Russie a rendu l’Alliance atlantique à nouveau bien vivante. Emmanuel Macron est train de gagner la bataille des idées au sujet de l’autonomie stratégique. Mais arriverons-nous à mobiliser les citoyens ? La France ne le sait que trop bien : vous pouvez avoir une vision stratégique pertinente, mais si vous êtes faible dans votre propre pays, vous ne pouvez pas faire grand-chose. C’est le même problème au Royaume-Uni.A quel point l’élection présidentielle française, en 2027, est-elle cruciale pour l’Europe ?Si Marine Le Pen ou Jordan Bardella l’emportent, nous ne savons pas encore s’ils vont se rapprocher du centre. Il pourrait y avoir un scénario à la Meloni, comme en Italie. Après avoir eu un programme économique populiste, le RN s’adresse d’ailleurs de plus en plus au monde des grandes entreprises. Dans tous les cas, les enjeux de cette élection présidentielle sont très importants, car la France est un pays majeur dans l’écosystème de l’UE. La Hongrie, c’est une chose. La France et l’Allemagne, c’est une autre paire de manches.
Trois jours après l’annonce d’un accord de rachat avec Netflix, Paramount Skydance, dirigé par David Ellison, a présenté lundi 8 décembre une contre-offre sur WBD, valorisé 108,4 milliards de dollars, avec l’aide de Jared Kushner, le gendre du président américain, et des fonds souverains du Golfe.
C’est la nouvelle coqueluche du président américain : le chef des armées pakistanaises, Asim Munir, est le véritable homme fort du pays. S’il a restauré la place de son pays sur la carte du monde, écrit le “Financial Times”, il peine à réformer un système qui empêche le Pakistan d’évoluer, malgré une jeunesse en ébullition.
Dans les rangs des entreprises et du patronat français, on est de moins en moins frileux à l’égard d’un Rassemblement national qui a le vent en poupe dans les sondages. La “normalisation” n’est pas totale, observe le quotidien allemand “Frankfurter Allgemeine Zeitung”, mais le vent tourne.
Dans la capitale belge, l’Union Saint-Gilloise offre un ancrage rare aux expatriés des institutions européennes. Après des décennies dans les limbes, le club de football, sacré champion de Belgique en 2025, s’impose désormais comme le cœur battant d’une communauté en quête d’appartenance, explique le site espagnol “El Confidencial”.
Hun Sen, président du Sénat et ancien premier ministre, a appelé les troupes cambodgiennes à « détruire les forces ennemies ». Six civils cambodgiens et un soldat thaïlandais sont morts depuis la reprise des combats dimanche soir.
Le suspense va être à son comble ce mardi à l’Assemblée nationale. Sébastien Lecornu va en effet tenter de faire adopter sans majorité le projet de budget de la Sécurité sociale, après un vote sur la partie « recettes » remporté de peu vendredi.Et le pari du locataire de Matignon est cette fois encore plus risqué. S’il est assuré du soutien des socialistes, il risque en effet d’être lâché par son propre camp. 20 Minutes fait donc le point sur les forces en présence dans l’hémicycle du Palais Bourbon avant ce vote à haut risque.Les députés qui prévoient de voter contreLe Rassemblement national, qui a voté contre la partie « recettes », devrait faire de même sur l’ensemble du texte. Et alors que beaucoup de députés manquaient à l’appel, retenus par un enterrement vendredi, ils devraient être cette fois-ci « parfaitement nombreux et totalement présents », selon le député Jean-Philippe Tanguy. Vote contre également pour le groupe Union des droites pour la République (UDR) d’Éric Ciotti, allié du RN. Les uns et les autres totalisent 139 voix.La France insoumise devrait elle aussi rejeter massivement le texte, avec ses 71 députés.Si les 17 voix du groupe GDR (communistes et ultramarins) sont souvent plus dispersées, son président Stéphane Peu anticipe que le groupe votera « probablement contre majoritairement », « à part un ou deux députés qui peuvent s’abstenir ».Ceux qui appellent à voter pourLe groupe Ensemble pour la République (EPR) de Gabriel Attal (91 députés) et le groupe MoDem (36 députés) devraient voter pour le texte. Une source EPR évoquant lundi deux possibles abstentions.Le groupe PS (69 députés) votera lui aussi très majoritairement pour, après l’appel en ce sens du premier secrétaire, Olivier Faure. Des sources au groupe évoquent une poignée d’abstentions.Idem au groupe indépendant Liot (22 députés) : un bon connaisseur du groupe espère au mieux 18 voix « pour » et aucun vote contre.Où se trouveront les abstentionnistes ?Bien que membre de la coalition gouvernementale, le groupe Horizons (34 députés) devrait majoritairement s’abstenir, après la prise de position d’Édouard Philippe mardi dernier, estimant impossible de « voter pour » le texte. « Plus c’est homogène mieux c’est », a souligné un député du groupe vendredi, soulignant que seuls quatre députés du groupe ont voté pour la partie « recettes ». Édouard Philippe a en outre réaffirmé lundi sur LCI qu’il recommanderait aux députés de son parti Horizons de s’abstenir. Ce texte « n’est pas satisfaisant » mais « je ne suis pas partisan du chaos, je ne propose pas de voter contre. Je n’ai jamais voulu que le gouvernement de Sébastien Lecornu tombe », a ajouté l’ancien Premier ministre.Il devrait en être de même chez Les Républicains (LR), 49 députés, un parlementaire prédisant au plus une dizaine de voix en faveur du texte.Quelle est la position des écologistes ?Grand point d’interrogation, le vote du groupe écologiste et social (38 députés), objet de toutes les attentions du Premier ministre dans la dernière ligne droite, dans l’espoir que ses membres s’abstiennent, après avoir très majoritairement voté contre la partie « recettes ».Notre dossier PolitiqueL’ancien candidat à la présidentielle Yannick Jadot, désormais sénateur, a appelé lundi les députés écologistes « au minimum » à s’abstenir. Les Verts discuteront de leur vote au cours de leur réunion de groupe ce mardi. Quels députés pourraient faire basculer le vote ?Neuf députés « non-inscrits », c’est-à-dire n’appartenant à aucun groupe, joueront un rôle potentiellement prépondérant, tant le scrutin s’annonce serré.
Invité lundi soir de LCI, l’ancien premier ministre a réaffirmé son refus de se soumettre à une quelconque primaire de la droite avant le premier tour.
Ce lundi 8 décembre, Sébastien Lecornu s'efforce de trouver un compromis avant le vote du budget de la Sécurité sociale ce mardi 9 décembre. Mais au-delà du budget, l'avenir du gouvernement et celui du Premier ministre sont en jeu. On en parle avec : Yves Thréard, éditorialiste politique de BFMTV. Amandine Atalaya, éditorialiste politique de BFMTV. Guillaume Daret, éditorialiste politique de BFMTV. Gaëtane Meslin, cheffe du service économie et social BFMTV. Sami Sfaxi, journaliste de BFMTV à l'Assemblée nationale (Paris). Prisca Thévenot, députée "EPR" des Hautes-de-Seine et ancienne porte-parole du gouvernement. Marine Tondelier, secrétaire nationale "Les Écologistes". Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles. Lisa Hadef, journaliste BFMTV. Aurélien Pradié, député non-inscrit du Lot. Agnès Evren, sénatrice et port-parole du parti "Les Républicains". Jean-René Cazeneuve, député "Ensemble pour la République" du Gers. Aurélie Trouvé, députée "La France insoumise" de la Seine-Saint-Denis. Ayda Hadizadeh, députée "Parti Socialiste" du Val d'Oise. Julien Odoul, député "Rassemblement National" de l'Yonne. Bruno Jeudy, éditorialiste politique de BFMTV. Marc Touati, économiste chez Etoro. Rokhaya Diallo, auteure, réalisatrice et éditorialiste au Washington Post et au Guardian. Rachel Binhas, journaliste à Marianne. Jérôme Guedj, député "Parti Socialiste" de l'Essonne. Laurent Jacobelli, député "Rassemblement National" de Moselle. Manuel Bompard, coordinateur de "La France insoumise", député des Bouches-du-Rhône. Et Jean-Philippe Tanguy, député de la Somme et membre du bureau national du "Rassemblement National".
Ce mardi matin, le Japon constate une nouvelle fois les dégâts consécutifs à un séisme. Un fort tremblement de terre a frappé le nord du pays lundi soir, où plusieurs vagues de tsunami de 70 cm ont été enregistrées. Il a fait au moins 30 blessés, a indiqué ce mardi la Première ministre, Sanae Takaichi.L’agence météorologique japonaise (JMA) a prévenu la population que ce tremblement de terre de magnitude 7,5 qui s’est produit en mer au large de la région septentrionale d’Aomori, à 23h15 (15h15 à Paris) pourrait être suivi d’autres secousses dans les jours à venir. Sanae Takaichi a donc appelé la population à prendre des mesures pour se protéger en cas de nouvelles secousses.Des routes endommagéesParmi les blessés figure une personne grièvement touchée sur l’île Hokkaido, la plus au nord de l’archipel, selon l’Agence japonaise de gestion des incendies et des catastrophes, qui a recommandé l’évacuation de 28.000 personnes. À Sapporo, la principale ville de Hokkaido, le sol a tremblé violemment pendant une trentaine de secondes, tandis que les alarmes des smartphones retentissaient pour alerter les habitants.Des images en direct ont montré des fragments de verre brisé éparpillés sur les routes. Au lever du soleil ce mardi, les habitants ont constaté que quelques routes avaient été endommagées alors que la neige commence à recouvrir le sol dans la région.Le spectre de la catastrophe de Fukushima« Quand nous avons ressenti la secousse et que le système d’alerte s’est déclenché, nous sommes sortis précipitamment de la maison. Nous tenions nos enfants – une fille de 2 ans et un garçon de 1 an – dans nos bras. Cette secousse m’a rappelé la catastrophe (de Fukushima en 2011) », a déclaré à l’AFP Daiki Shimohata, 33 ans, un employé municipal dans la ville de Hashikami, préfecture d’Aomori. « Des objets sont tombés (des étagères), et une sorte de poudre est tombée du plafond », a-t-il constaté en se rendant dans la nuit dans l’une des salles municipales dont il est chargé de l’entretien.Notre dossier sur le JaponEnviron 2.700 foyers ont été privés d’électricité à Aomori, selon l’agence de presse Kyodo News, et de nombreux incendies ont été signalés. La circulation des trains à grande vitesse Shinkansen a été suspendue dans certaines zones le temps de vérifier l’état des voies. La compagnie Tohoku Electric Power a par contre indiqué qu’aucune anomalie n’avait été détectée dans les deux centrales nucléaires les plus proches, celle de Higashidori, à Aomori, ni dans celle d’Onagawa, dans la région de Miyagi.
La première dame avait qualifié de « sales connes » des militantes du collectif #NousToutes qui avaient interrompu samedi un spectacle d’Ary Abittan, accusé de viol.
Juan Orlando Hernandez, qui a dirigé le pays de 2014 à 2022, est sorti de prison le 1er décembre. L’ancien dirigeant de droite avait été condamné en 2024 à quarante-cinq ans de réclusion aux Etats-Unis pour trafic de drogue.
Gabrielle Henry souffre d’une « hémorragie intracrânienne », d’une fracture et de « lacérations au visage » après s’être grièvement blessée sur scène il y a trois semaines.
Contre les terribles conséquences du trafic de drogue, Édouard Philippe veut voir l’Etat prendre des mesures radicales. L’ancien Premier ministre s’est ainsi dit lundi favorable à la création d’un « état d’urgence narco », qui permettrait une utilisation de moyens « contrôlés », mais « dérogatoires au droit commun ».« Je pense qu’on pourrait se poser la question, et je suis assez prêt à avancer sur le sujet, d’un état d’urgence narco qui serait évidemment très limité dans le temps et dans l’espace mais qui permettrait, lorsqu’on voit une forme, une zone qui est très, très affectée, de pouvoir mettre des moyens administratifs », a-t-il déclaré sur LCI.« Je pense qu’on doit se poser la question, comme on l’a fait sur la lutte contre le terrorisme, d’une utilisation extrêmement forte des moyens concertés de la justice, de l’administration, avec des instruments qui sont certes contrôlés, mais qui sont dérogatoires du droit commun », a développé l’ancien locataire de Matignon. Comme « instruments », le président du parti Horizons a évoqué « les perquisitions, notamment les perquisitions administratives », ou encore « la confiscation » qui « doit aller beaucoup plus vite, parce que ça, pour le coup, les organisations criminelles en souffrent ».Les exemples de l’Allemagne et de l’Italie« Les Allemands ont mis plus de moyens dans leurs ports, on doit développer les moyens » dans les ports, a également prôné le maire du Havre. « Les Italiens ont créé des incriminations où la simple association à une entreprise criminelle de type mafieux est passible de sanctions extrêmement lourdes. […] Peut-être faudra-t-il en aller jusque-là », a-t-il ajouté.Le député RN et candidat à la mairie de Marseille, Franck Allisio, a récemment réclamé « l’état d’urgence à Marseille » pour lutter contre le narcotrafic.Notre dossier sur le Trafic de drogueL’état d’urgence existant en droit français est un régime d’exception pouvant être décrété en cas de péril imminent (attentat, guerre) ou de calamité publique (catastrophe naturelle d’une ampleur exceptionnelle). Il permet notamment aux ministres et préfets d'« interdire la circulation des personnes ou des véhicules » dans certains lieux ou à certaines heures (couvre-feux), ainsi que les réunions ou des manifestations sur la voie publique, ou encore d’ordonner la remise d’armes. L’État peut également assigner à résidence toute personne « à l’égard de laquelle il existe des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l’ordre publics » et ordonner « des perquisitions en tout lieu, y compris un domicile » sauf quelques rares exceptions.
Le WWF dresse un bilan contrasté de l’état de la faune française dans son rapport « La biodiversité en France, entre déclins et espoirs ». Sur 248 vertébrés étudiés, seuls ceux bénéficiant d’une protection active montrent un rebond. « Nos données témoignent de réussites significatives pour ce petit nombre d’espèces véritablement protégées – environ 8 % de notre échantillon », explique sa directrice générale, Véronique Andrieux. L’ONG estime que ces populations ont augmenté en moyenne de 120 % depuis 1990, et jusqu’à un facteur six lorsque des Plans nationaux d’action sont en place.Le lynx illustre cette dynamique fragile. Il avait disparu avant d’être réintroduit depuis la Suisse. La France compterait aujourd’hui 150 à 200 individus. Le WWF juge que « l’introduction régulière de quelques individus pourrait améliorer la dynamique locale, mais ne suffirait pas seule à éviter le risque d’extinction ». Le flamant rose connaît, lui, une trajectoire plus encourageante : après avoir « presque disparu de Camargue », l’espèce prospère désormais grâce à la restauration des zones humides, au point que « la Méditerranée française accueille plus de 70.000 flamants roses au printemps ».De nombreuses espèces menacéesA l’opposé, la majorité des espèces ne bénéficie pas de telles mesures et continue de décliner. Le requin griset, « prédateur discret » essentiel à l’équilibre marin, a perdu 99 % de ses effectifs en vingt-cinq ans en Méditerranée et dans le golfe de Gascogne. Le moineau friquet subit la même tendance, avec une chute de 91 % en deux décennies. Cet oiseau, qui « niche dans les cavités des vieux arbres ou des bâtiments agricoles », souffre directement de la disparition des haies, de la transformation des paysages agricoles et de l’usage accru d’herbicides et d’insecticides.Notre dossier sur la BiodiversitéLe rapport rappelle que la France, pourtant l’un des pays les plus riches en biodiversité d’Europe, ne parvient à préserver efficacement qu’une fraction de ses espèces. Les succès observés chez le lynx ou le flamant rose démontrent l’impact des politiques de conservation ciblées, mais l’ONG appelle à étendre ces efforts afin d’enrayer l’effondrement général de la faune.
Le tremblement de terre s’est produit lundi à 15 h 15 (heure de Paris) au large de Misawa, sur la côte Pacifique. Une personne a été grièvement touchée sur l’île Hokkaido, la plus au nord de l’archipel.
« Les raboter encore, c’est une taxe sur l’emploi. Et une taxe sur l’emploi, c’est une taxe sur les salaires de demain », assurent le Medef, la Confédération des petites et moyennes entreprises et l’U2P dans un communiqué publié lundi 8 décembre, à la veille du vote sur le budget de la Sécurité sociale.
Il était l’un des artisans du rapprochement de Vladimir Poutine et Kim Jong-un en pleine guerre en Ukraine. En poste depuis plus de dix ans, l’ambassadeur de Russie en Corée du Nord est mort « subitement », a annoncé lundi son ministère.Dans un communiqué, le ministère russe des Affaires étrangères a déclaré « avec un profond regret » qu’Alexandre Matsegora, âgé de 70 ans, s’était éteint le 6 décembre 2025.Une longue carrière liée à la Corée du NordSans donner de détails sur les causes de sa mort, la diplomatie russe lui rend un hommage appuyé, soulignant que, dès le début de sa carrière à la fin des années 1970, ce coréanophone avait travaillé pour la coopération économique et diplomatique entre la Corée du Nord et l’URSS, puis la Russie.« Sous sa direction avisée et sensible, plusieurs générations de diplomates et de spécialistes de la Corée ont vu le jour », souligne le ministère russe. Alexandre Matsegora, ambassadeur à Pyongyang depuis 2014, a été « une force motrice » du « travail acharné sur de longues années » ayant abouti au « niveau de relations actuel sans précédent » entre la Russie et la Corée du Nord, selon la diplomatie russe.Les condoléances de Kim Jong-unKim Jong-un a adressé ses sincères condoléances au président Poutine suite au « décès soudain » du diplomate, a rapporté ce mardi matin l’agence de presse officielle nord-coréenne KCNA. Selon le dirigeant nord-coréen, il s’agit d’un « événement déchirant et d’une grande perte », d’autant plus que cela survient alors que les relations bilatérales entrent dans une « phase historique cruciale ».Notre dossier sur la Corée du NordLa Corée du Nord et la Russie procèdent actuellement à un vif rapprochement diplomatique, militaire et économique. Les deux pays sont unis depuis 2024 par un pacte de défense mutuel, signé après une visite officielle de Vladimir Poutine à Pyongyang. La Corée du Nord a ainsi activement participé à l’effort de guerre de la Russie en lui fournissant des milliers de soldats pour repousser, entre fin 2024 et le printemps 2025, les troupes ukrainiennes qui avaient pris pied dans une petite partie de la région frontalière russe de Koursk. Elle lui fournit également armes et munitions, selon la Corée du Sud, qui soupçonne Moscou de lui transférer en échange des technologies militaires sensibles.
Douze agents du FBI ont saisi la justice, affirmant avoir été évincés sans ménagement pour avoir posé un genou à terre lors d’une intervention à Washington, au plus fort des manifestations de 2020 après la mort de George Floyd. Selon leur plainte, ce geste, réalisé le 4 juin 2020 pour « désamorcer » une confrontation avec une foule en tension, avait été validé après coup par leur hiérarchie, avant d’être requalifié cinq ans plus tard en « comportement non-professionnel et manque d’impartialité » par le directeur du FBI Kash Patel.Les neuf femmes et trois hommes, dont l’identité demeure confidentielle, affirment que la lettre de licenciement reçue en septembre était strictement identique pour chacun d’eux. Ils accusent l’administration Trump de tenter « de réécrire l’histoire cinq ans plus tard », estimant que leur geste constituait une décision tactique proportionnée aux risques auxquels ils étaient exposés ce jour-là.Graves tensions internes au FBILe conflit s’inscrit dans un climat de tension interne au FBI, alors que Kash Patel est déjà visé par plusieurs recours. Ses détracteurs lui reprochent de mener une « purge » alignée sur les attentes de Donald Trump. Trois hauts responsables du Bureau, dont Brian Driscoll – alors directeur par intérim – l’accusent d’avoir « politisé » l’agence en sanctionnant ceux qui refusaient « de politiser le FBI » ou de soutenir des limogeages jugés arbitraires.Notre dossier sur les Etats-UnisUn autre dossier s’est ajouté en novembre, lorsqu’un ancien employé a imputé son renvoi à la présence d’un drapeau LGBT+ sur son bureau. Ces plaintes successives nourrissent les interrogations sur l’usage du pouvoir disciplinaire au sein du FBI et sur l’influence politique que des plaignants attribuent à la direction actuelle.
L’agrément est limité au modèle H200. Les processeurs les plus performants de la firme américaine, qui fournit les entreprises de l’intelligence artificielle, ne sont pas concernés.
A Washington, Donald Trump a ravivé lundi les tensions transatlantiques en estimant que l’Europe s’écartait dangereusement de sa trajectoire. Le président américain a assuré que « l’Europe doit faire très attention », affirmant que le continent « prend certaines mauvaises directions ». Selon lui, ces évolutions seraient « très mauvaises pour les gens », au point qu’il déclare ne pas vouloir « que l’Europe change autant ».Cette sortie intervient quelques jours après la publication par son administration d’une nouvelle Stratégie de sécurité nationale, un document à la tonalité résolument nationaliste qui concentre une partie de ses critiques sur les choix européens en matière de migration et de souveraineté. Ce texte évoque notamment l’« effacement civilisationnel » du Vieux Continent et alerte : « Si les tendances actuelles se poursuivent, le continent sera méconnaissable dans 20 ans ou moins. »Une fracture politique entre les Etats-Unis et l’EuropeLa stratégie accuse les dirigeants européens de favoriser des politiques migratoires « qui transforment le continent et créent des tensions », tout en dénonçant ce que Washington qualifie de « censure de la liberté d’expression », de « répression de l’opposition politique » ou encore de « chute des taux de natalité » et de « perte des identités nationales ». Autant d’arguments qui témoignent d’une ligne idéologique assumée, axée sur la défense des frontières et de la souveraineté nationale.Notre dossier sur les Etats-UnisCes prises de position s’inscrivent dans un climat diplomatique déjà détérioré depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche en janvier. Le rapprochement des Etats-Unis avec la Russie, mais aussi le soutien affiché de Washington à plusieurs partis conservateurs ou d’extrême droite en Europe, ont déjà contribué à tendre un peu plus les relations entre les deux rives de l’Atlantique. Avec cette nouvelle offensive verbale, la fracture politique semble désormais s’ancrer dans la doctrine de sécurité américaine.
Ce lundi 8 décembre, Sébastien Lecornu s'efforce de trouver un compromis avant le vote du budget de la Sécurité sociale ce mardi 9 décembre. Mais au-delà du budget, l'avenir du gouvernement et celui du Premier ministre sont en jeu. On en parle avec : Yves Thréard, éditorialiste politique de BFMTV. Amandine Atalaya, éditorialiste politique de BFMTV. Guillaume Daret, éditorialiste politique de BFMTV. Gaëtane Meslin, cheffe du service économie et social BFMTV. Sami Sfaxi, journaliste de BFMTV à l'Assemblée nationale (Paris). Prisca Thévenot, députée "EPR" des Hautes-de-Seine et ancienne porte-parole du gouvernement. Marine Tondelier, secrétaire nationale "Les Écologistes". Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles. Lisa Hadef, journaliste BFMTV. Aurélien Pradié, député non-inscrit du Lot. Agnès Evren, sénatrice et port-parole du parti "Les Républicains". Jean-René Cazeneuve, député "Ensemble pour la République" du Gers. Aurélie Trouvé, députée "La France insoumise" de la Seine-Saint-Denis. Ayda Hadizadeh, députée "Parti Socialiste" du Val d'Oise. Julien Odoul, député "Rassemblement National" de l'Yonne. Bruno Jeudy, éditorialiste politique de BFMTV. Marc Touati, économiste chez Etoro. Rokhaya Diallo, auteure, réalisatrice et éditorialiste au Washington Post et au Guardian. Rachel Binhas, journaliste à Marianne. Jérôme Guedj, député "Parti Socialiste" de l'Essonne. Laurent Jacobelli, député "Rassemblement National" de Moselle. Manuel Bompard, coordinateur de "La France insoumise", député des Bouches-du-Rhône. Et Jean-Philippe Tanguy, député de la Somme et membre du bureau national du "Rassemblement National".
Les Bleues, qui passaient lundi à Rotterdam leur premier vrai test des championnats du monde, ont été nettement dominées (23-26) par des Néerlandaises survoltées devant leur public. Elles affronteront mercredi le Danemark, qui a battu dimanche la Hongrie.
À la veille de défier l'Union Saint-Gilloise mardi soir lors de la sixième journée de la Ligue des champions, un match capital en vue de la qualification pour les barrages, l'Olympique de Marseille est en manque de repères. Un constat que porte également Daniel Riolo dans l'émission l'After Foot sur RMC, et qui revient comme une ritournelle depuis le début de saison.
Ce mardi, la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État fête ses 120 ans, pilier de notre laïcité. Comment en est-on arrivé là ? Que renferme cette loi ?
Les députés doivent voter ce mardi 9 décembre sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, menacé de rejet par les refus des Républicains et du parti Horizons de le soutenir. Au contraire, le Parti socialiste a appelé son groupe à soutenir le texte.
La Première dame Brigitte Macron a qualifié ce dimanche de "sales connes" des militantes féministes du collectif #NousToutes qui ont interrompu la veille un spectacle de l'humoriste Ary Abittan, accusé de viol en 2021 avant que l'instruction n'aboutisse à un non-lieu.
Le meneur de jeu des Miami Heat est poursuivi pour avoir participé au trucage d’au moins un match, au cours duquel il avait simulé une blessure en mars 2023. Le basketteur a été laissé libre en échange d’une caution de 3 millions de dollars.
Le forum de discussion en ligne a toutefois condamné mardi l’interdiction imminente des réseaux sociaux pour les moins de 16 ans en Australie, la qualifiant «d’erronée sur le plan juridique».
La Russie contrôle actuellement la majeure partie du Donbass et veut obtenir l'ensemble de ce territoire, une demande maintes fois rejetée par Kiev, notamment "en vertu de la loi ukrainienne".
La Première dame Brigitte Macron a qualifié ce dimanche de "sales connes" des militantes féministes du collectif #NousToutes qui ont interrompu la veille un spectacle de l'humoriste Ary Abittan, accusé de viol en 2021 avant que l'instruction n'aboutisse à un non-lieu.